Sylvain Ferret

Dernier tome de la trilogie les métamorphoses.



L’univers de l’histoire est toujours aussi intriguant et les dessins de très bonne facture. Par contre la fin de l’histoire sonne comme inachevée.. dommage !

Par-delà l’intrigue, fort bien menée et conclue, c’est à un voyage aux confins de la souffrance et de la folie qu’est convié le lecteur. Les fantasmes de résurrection et d’immortalité, quitte à tuer pour la gagner, sont les reflets d’esprits n’acceptant pas les limites de l’homme et sa finitude.
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J'ai reçu le premier tome des Métamorphoses 1858 dans le cadre de Masse Critique. J'ai été rendue curieuse par la 4e de couverture et l'illustration de la couverture qui renvoient toutes deux la promesse d'une intrigue pleine de noirceur, de mystères et une légère pointe de gore.



Mes attentes n'ont point été déçues lors de ma lecture : on est très vite happés dans l'histoire. Nous faisons rapidement connaissance des deux personnages principaux et nous sommes entrainés dans leur sillon au cours de leur enquête. Dès les premières cases, on sent comme une alchimie à la Sherlock et Watson entre Stan et Jo, le détective et le médecin. Tous deux se retrouvent plongés dans ce qui ne devait être qu'une histoire de disparitions, et prend finalement une tournure bien plus sordide et sanglante.



Bien qu'il s'agisse d'un premier tome qui introduit les personnages et l'histoire, le rythme n'en est pas moins assez enlevé. Jusqu'aux dernières pages, le lecteur est hameçonné et est tenu en haleine par les indices distillés au fur et à mesure, et les rebondissements de l'histoire. Les dernières cases nous promettent toujours plus de mystère pour la suite, en nous donnant un bref aperçu de ce qui nous attend. Un aperçu qui semble nous entraîner aux confins du steampunk...

J'ai également été séduite par certaines très belles planches de cette bande dessinée. Le jeu des couleurs utilisé est intéressant, parfois pour signifier un changement d'ambiance, de temporalité ou de point de vue.



Il me tarde donc de découvrir la suite de ce premier volet plein de promesses des Métamorphoses !

Suite de l'enquête de Stanislas et Joseph qui les emmène à Barcelone en dirigeable.



Une suite où le rythme s'accélère mais qui manque de lisibilité. Les transitions entre certaines scènes sont tellement abruptes et la continuité temporelle tellement... brouillon (si je puis dire) que la compréhension m'es a té rendue compliquée parfois.



Le dessin est toujours aussi raide et manquant d'expression mais la colorisation est toujours magnifique.



Moralité, je ne sais pas trop quoi penser de cette série car en soit, l'histoire est intéressante.

Paris 1858, des femmes dispraissent dans l'indifférence et des cadavres auxquels il mabque des organes sont retrouvés. Satanislas, détective amateur et son ami Joseph enquêtent sur ces disparitions jusqu'à leur rencontre avec l'impossible.



Un premier volume qui m'intriguait beaucoup, surtout à cause de la couverture

L'histoire ne m'a pas déplu malgré quelques longueurs mais je dois dire que le dessin ma un peu déçue.

La colorisation est mgnifique mais les traits de Sylvain Ferret sont pour moi trop rigides et les personnages manquent d'expressivité et de diversité dans les expressions.



Ayant le second volume sous la main je vais lire la suite.

Peut être qu'avec cemui-ci j'accrocherai plus !

Un très bon tome d’introduction.



Une histoire qui se dévoile au fil des pages tout en conservant des zones d’ombres. Le dessin quant à lui, colle parfaitement à l’ambiance de l’univers.



Je conseille la lecture à tous les fans de la période du 19ieme et aux fans de steampunks.

Après leur effroyable découverte des androïdes tueurs en partie humains, et l’énigmatique Architecte nos deux héros s’embarquent à bord du dirigeable de la société secrète dont fait partie Stan pour l’Espagne où leurs indices semblent converger.







En route une certaine animosité s’installe entre eux en raison de la présence du père de Joseph à bord, mais ils vont bien vite devoir mettre leurs différends de coté quand une fois à Barcelone, ils vont avoir à faire à de nouveaux ennemis et explorer une forêt remplie de créatures de cauchemar.







A peine 3 mois après un premier volet enthousiasmant, Delcourt publie le second tome des Métamorphoses 1858, où le scénariste alterne entre une course poursuite à haute tension et des flashbacks sur la jeunesse des deux principaux personnages.







Si le découpage et la narration du premier étaient assez impressionnants, ici le trop est parfois l’ennemi du bien et l’on aurait tendance à se perdre dans des va et vient temporels et autres cadrages très léchés. Néanmoins les graphismes et la colorisation sont toujours très réussis apportant à la série une originalité manifeste.







Une suit de fort bonne facture, multipliant les rebondissements, et qui prépare à une fin de haut vol.
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Ce manga est intéressant dans sa morale et sa philosophie de la vie. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et à comprendre, c'est seulement vers la fin que tout à fait tilte.



Au départ on est un peu perdu, sans contexte, dans un monde fantastique avec Moon qui combat un monstre avec son acolyte Panpan puis on dérive vers le développement personnel de Moon qui est en fait en guerre contre lui-même, le roman paraît alors comme une thérapie de psychologie que Moon fait avec son soi intérieur.



L'aspect est intéressant mais j'ai trouvé qu'il avait mal été amené même si le sujet est attrayant au vu de notre société actuelle où les causes sont totalement possibles.



Je recommande cette lecture mais il faut un certain recul

Encore une déception avec ce manga français...

Nous suivons ici Moon, dans un monde onirique assez étrange, qui va devoir affronter plusieurs épreuves pour pouvoir "sortir" de ce monde...

Un début bordélique, vraiment pas clair. On passe plus de temps à nous montrer de l'action qu'à nous expliquer ce qu'il se passe, les enjeux, etc...

Le dessin est correct mais trop scolaire, du coup il manque de fluidité.

La fin rattrape beaucoup de choses, certes, car on comprend mieux tout ce qu'on vient de lire. Après, on ne va pas se mentir, c'est un choix plus que risqué de tout miser sur la fin, et pour moi, le jeu n'en vaux pas la chandelle ici. A vous de voir !

La fin de ce manga a dépassé mes attentes. Non seulement on comprend ce qui est arrivé à Moon, mais en plus, même le monde réel n’est plus forcément celui que l’on connaît… J’ai été impressionnée par l’imagination du scénariste.
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"Nous cherchons à atteindre l'esprit d'Ombre. Là où naissent les légendes et les regrets."

Moon s'est perdu dans le monde fantastique d'Ombre. Il a avec lui un jeune garçon appelé Panpan ainsi qu'un autre être mystérieux.

"Si je n'ai jamais la force d'aller au bout... À quoi bon ?"

Moon est égaré dans cet univers à la fois vide de sens et rempli d'ennemis. L'histoire est dominée par la violence et ce sentiment de perdition. Il y a beaucoup de combat, de blessure. Rien ne semble avoir de sens, Moon l'air complètement perdu. Il ne comprend pas ce qu'il se passe.

"J'ai l'impression d'être prisonnier d'un cauchemar !" Il mène ce combat acharné pour comprendre. Ce monde a des règles spéciales, il est mouvant, vivant, désolé. Tout est très métaphorique, flou, illustré en énigmes et en texte à interpréter. "La peur de l'avenir t'as ramené à la magie du passé."

C'est sanglant. Moon se bat contre des bouts de lui-même. Il ressasse beaucoup. N'avance que très peu, il tourne presque en rond.

"Pour le moment, tu n'es que l'ombre de toi-même... Mais la lumière n'est pas loin."

Entre passé, présent, et un temps où tout semble à la fois suspendu et à l'arrêt, Moon persévère. "Dans la lumière et l'obscurité, tu poursuis ta course."

À vous d'essayer de reconstituer le puzzle qu'est l'histoire de Moon.

Un deuxième opus révélant autant de secrets qu'il en a rajouté!

Lecture très addictive mais je trouve que l'histoire va assez vite, comme si l'auteur voulait absolument se dépêcher d'écrire l'histoire.

Cependant j'aime quand même cette trilogie et l'univers me plait énormément

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Un premier tome qui nous laisse l'eau à la bouche!



Un environnement assez dark avec des personnages assez badass .



J'ai vraiment adoré mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de suspens et de mystère j'espère avoir des réponses dans les deux tomes suivants!

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Espoir défunt ?



Avec ce troisième opus, Sylvain Ferret referme sa trilogie de science-fiction aux accents néo-gothique sombrement poétique qui pointe avec pertinence et lucidité les travers de nos sociétés contemporaines, de la pollution à l’exploitation déraisonnées des ressources naturelles qui gangrènent notre terre et conduisent l’humanité à sa perte…



Récit dense, riche, complexe et terriblement exigeant, Talion est porté par un dessin fascinant de plus en plus inspiré de la culture japonaise, une mise en couleur à l’expressionnisme radical, une narration graphique très cinématographique et des personnages tout sauf manichéens à la psychologie travaillée avec soin qui rende son récit particulièrement poignant.



Pour la première série dont il assure dessin et scénario, Sylvain Ferret fait montre d’une grande maîtrise… On le savait dessinateur virtuose depuis qu’il avait mis en image Les Métamorphoses 1858 d’Alexie Durand, on le découvre scénariste lucide et engagé concerné par les problématiques de son époque… Au vu des qualités de cette trilogie menée de main de maître, nous attendons avec impatience sa prochaine création…
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La trilogie se termine en beauté. La fable écologique et sociale de Sylvain Ferret se clôt entre réponses aux questions, messages d’espoir et surtout un mantra : « Chaque jour, chaque vie, doivent être vécus pour mériter le monde. »
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Le tome 2 m’a été offert à Noël, et je l’ai lu dès le lendemain, impatiente de découvrir la suite de cette histoire. Cette fois, nous sommes emmenés dans une autre ville, ravagée comme la première, mais d’une façon différente. On découvre un autre mode de fonctionnement, une autre vision des choses mais en tout cas, nous restons dans un monde où l’environnement est complètement détruit. Les dessins sont toujours aussi immersifs et splendides ! Je suis réellement fan ! Et en plus on assiste à des révélations assez dingues ! J’ai encore plus envie de découvrir l’univers, les personnages, et évidemment, le dénouement de tout ça ! Pour terminer, j’ai été soufflée par le mot de la fin de l’auteur… Je suis vraiment très pressée de découvrir le troisième volume !

Dans Talion, nous partons à la découverte de Forenhaye, une cité divisée en deux quartiers : Racines et les hauts quartiers. La ville est contaminée par la « Vermine », un poison qui contamine tout être vivant et qui créé chez la personne malade ce que le peuple appelle des « stigmates » : La peau se nécrose progressivement, se noircissant au fur et à mesure, donnant une apparence d’écorce. Les personnes vivant dans les quartiers Racines sont soumis à de l’eau contaminée, ils vivent dans le nuage de pollution, et ils subissent les attaques de ceux qui se sont transformés et ils arborent tous des stigmates. Ceux qui vivent au-dessus du nuage, en haut de la citadelle, les Nobles, ont accès à de l’eau dépolluée et une meilleure sécurité. On comprend que c’est la soif de progrès qui a engendré cette situation. Nous découvrons différents personnages tout au long de l’opus, dont Billie, une jeune femme qui est déterminée à vouloir changer les choses. Elle a été élevée par deux femmes, Adamante et Eleanor, qui ont l’air d’avoir une histoire passionnante ! Il y aussi le roi Sirius Talion, à la tête de la cité, et qui parait immortel ! Sans parler de Tadeus qui semble porter un antidote dans son sang… Tous les personnages sont intéressants ! Le décor et l’ambiance sont incroyables ! Les dessins des structures architecturales sont splendides, on se sent réellement immergés dans Forenhaye ! Mais wow ! Quelle découverte ! Je ressors complètement fascinée de cette lecture, j’ai été attiré par le titre et par la couverture qui est super belle, mais l’histoire vient véritablement bien complétée l’ensemble ! J’ai très hâte de découvrir le deuxième tome !
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Suite et fin de la série et je reste dubitative quand au scénario. Il m'est resté plutôt opaque jusqu'à la fin. Je n'ai pas saisi les enjeux, les tenants et aboutissants de cette histoire.

C'est dommage car visuellement, elle est plutôt réussie, notamment grâce à une grande variété des vignettes qui alternent à merveille les très gros plans, les contre-plongées, les plans large. Tout cela donne un vrai dynamisme à la narration et incite le lecteur à rester attentif. Dommage que ce travail graphique n'est pas rencontré un scénario efficace.

Et si vous doutez que Sylvain Ferret travaille avec ses tripes, lisez la note en fin d’ouvrage pour vous en convaincre. Ferret est un guerrier, la BD est son arme, et il est bien décidé à en utiliser toutes les facettes pour arriver à ses fins.
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Une vraie leçon de bande dessinée qui donne très envie non seulement de découvrir la suite et fin, mais plus globalement de surveiller la carrière de cet artiste hors du commun !
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