Citations de Sylvie Bourgeois (26)
— Mais je croyais que tu n’avais plus rien.
— Dans le jargon de la finance, mon amour, cela veut dire que je vais enfin prendre le temps de vivre.
La réalité est celle que l’on se donne les moyens de créer.
Comme c’est délicieux de se sentir désirée !
..si une femme veut vraiment un homme, elle parviendra à ses fins à condition de ne plus vivre que pour ça, que ce but devienne sa priorité sur laquelle elle devra concentrer toute son énergie et ses pensées..
La personnalité n’a rien à voir avec le fait de chercher à tout prix la contradiction. Sois subtile, délicieuse, drôle, amusante, spontanée, joyeuse, intelligente, cultivée, intéressée par ses propos, et surtout étonne-le. Certes, de temps à autre, tu peux t’amuser à ne pas être d’accord, mais seulement pour le plaisir de jouer, et en toutes circonstances, n’oublie jamais de rester légère, il n’y a rien de plus pénible qu’une fille capricieuse.
Les hommes pensent d’abord au sexe et les femmes à l’amour.
. L’amour est une histoire de rencontre entre la peau et l’âme. Je suis ambitieuse, je veux vivre avec l’homme dans les bras duquel je n’aurai pas peur de mourir. Je veux le respect, l’estime, la confiance, tout partager, il n’y a que dans les gestes du quotidien qu’est le véritable amour.
La femme n’est-elle pas plus séduisante lorsqu’elle utilise son cerveau plutôt que son tour de poitrine ?
Les hommes ressemblent à des mannequins moulés dans leurs habits comme s’ils ne tenaient debout que soutenus par la rigidité de leurs vêtements.
C’est débile de claquer du fric dans les vêtements ou dans des accessoires qui ne flattent finalement que notre futilité.
Je voudrais un homme qui prenne soin de moi, qui soit mon port d’attache, un homme sur lequel je puisse me reposer.
Une des grandes règles de la vie est d’accepter que personne ne change, au mieux, les gens peuvent évoluer sur leurs bases mais jamais s’en fabriquer de nouvelles.
Avant d’accepter de revoir un homme, faites un effort pour analyser qui vous avez en face de vous. Si vous vous concentrez bien pour vous souvenir de votre première conversation, vous verrez, tout a été dit. Les gens se dévoilent toujours au début. Ce n’est qu’à la deuxième entrevue, suivant qui ils ont en face d’eux, que naissent les manipulations.
Pour nous, les petits de la société, ça devrait être pareil. Au lieu de râler et de rester dans le chacun pour soi, notre unique solution pour accéder au bonheur est de résister en s’entraidant, en plus c’est valorisant de se sentir utile. Croyez-moi, il faut rétablir la solidarité. Et la compassion. Si nous campons sur nos positions, nous sommes foutus. Nous resterons toujours des esclaves.
La vie n’est qu’un rapport de force, une lutte de territoire.
Refuse d’accorder à quiconque le droit d’avoir un pouvoir de nuisance sur toi, et quand tu ne sais plus comment réagir, choisis de résister par l’humour. Rire est souvent la seule réponse pour sortir la tête haute d’une situation humiliante, cela t’évitera de céder à la colère.
Je suis voluptueusement abandonnée sur mon lit à faire l'amour avec mes mots qui sont les seuls amis à qui je peux confier mon intimité. Enfermée sur ces pages de papier pour t'exprimer mes rêves de sexualité, mon esprit imprégnée de ta sensualité voudrait lécher les verbes tels que sucer, pénétrer, haleter, savourer, cambrer, écarter, soupirer, mouiller, succomber.
... Assis sur ton visage, mon sexe s'est pressé fortement à ta bouche afin de filtrer pour toi l'air que tu respires.
C'est une suite sublime. Qui donne sur la mer. Luc sort de la salle de bain en caleçon blanc, sourire éclatant !
- Tu vas prendre ta petite douche Sophie ?
- Non, je suis trop cassée, je vais faire dodo direct.
- Ah bon ? Répond Luc ennuyé.
- Tu dors de quel côté ?
Luc, torse nu, et Sophie, emmitouflée dans un peignoir, sont allongés chacun à un bout du lit. Luc éteint la lumière.
- Sophie, je peux te prendre dans mes bras ?
- Pourquoi ?
- Pour se donner un peu de tendresse.
- Tu te crois où ?
Luc se rapproche de Sophie et se colle contre elle.
- Tu ne veux pas retirer ton peignoir ? Tu vas avoir chaud.
- Ah non, tu bandes en plus... Tu avais promis...
-Il faut avouer que tu es quand même très jolie.
- Je vois pas le rapport. Dors !
- Viens contre moi.
- Non.
- Tu ne veux pas au moins me branler un peu ?
- Ça va pas, non !
- Sinon je ne pourrai pas dormir.
- Et bien, va sur le canapé.
- Vas-y toi.
- Non.
- C'est quand même ma piaule.
- Et moi je suis une fille. Elle ne t'a rien appris ta mère ! C'est fou comme dans le cinéma, vous êtes tous mal élevés.
- Sophie...
- Tais-toi.
Le sexe, c’est comme la bouffe, l’appétit vient en mangeant.
Ce qui est important dans l’amour, c’est le mouvement, la gestuelle, la façon qu’a l’autre de se mouvoir dans le lit, son énergie à te désirer aussi.