Citation de levri
Je ris et le repoussai.
— Salaud, déclarai-je d’un air horriblement affectueux.
— Tu m’aimes.
— Je ne sais même pas pourquoi.
— Mes Dieux, les gars, vous êtes littéralement au-dessus d’une pile de cadavres de vos ennemis et vous trouvez le moyen de rendre la situation encore pire en flirtant. Il y a des moments et des endroits pour ça et c’est derrière des portes fermées pour qu’aucun d’entre nous puisse voir cette parodie qu’est votre relation.
Je poussai Ryan hors de mon chemin et sautillai par-dessus les restes des Obscurs pour aller me placer devant Justin qui me jetait un regard noir. Les gardes de la Cité avançaient vers nous et s’il restait des Obscurs en vie, j’étais certain qu’ils seraient mis en prison. Morgan ou Randall s’assurerait que leurs cellules soient sécurisées pour que les Obscurs n’utilisent pas leur magie pour sortir.
— Pourquoi es-tu si pâle ? demanda Justin alors que je marchais sur un doigt dans l’herbe.
Il plissa son nez en reculant.
— Et pourquoi tu sens comme ça ? Sam, reste loin de moi. Et si tu envisages de me toucher, je trouverai un moyen de faire de ta vie un enfer pour le reste de mes jours. Tu n’as pas le droit de m’imposer tes microbes.
— Salaud, déclarai-je d’un air horriblement affectueux.
— Tu m’aimes.
— Je ne sais même pas pourquoi.
— Mes Dieux, les gars, vous êtes littéralement au-dessus d’une pile de cadavres de vos ennemis et vous trouvez le moyen de rendre la situation encore pire en flirtant. Il y a des moments et des endroits pour ça et c’est derrière des portes fermées pour qu’aucun d’entre nous puisse voir cette parodie qu’est votre relation.
Je poussai Ryan hors de mon chemin et sautillai par-dessus les restes des Obscurs pour aller me placer devant Justin qui me jetait un regard noir. Les gardes de la Cité avançaient vers nous et s’il restait des Obscurs en vie, j’étais certain qu’ils seraient mis en prison. Morgan ou Randall s’assurerait que leurs cellules soient sécurisées pour que les Obscurs n’utilisent pas leur magie pour sortir.
— Pourquoi es-tu si pâle ? demanda Justin alors que je marchais sur un doigt dans l’herbe.
Il plissa son nez en reculant.
— Et pourquoi tu sens comme ça ? Sam, reste loin de moi. Et si tu envisages de me toucher, je trouverai un moyen de faire de ta vie un enfer pour le reste de mes jours. Tu n’as pas le droit de m’imposer tes microbes.