Citations de Tahereh Mafi (787)
Je ne sais pas quand ca à commencé.
Je ne sais pas pourquoi ça a commencé.
Je ne sais rien de rien, Sauf pour les hurlements.
Les hommes ont toujours beaucoup de mal avec les vêtements des femmes. Ils ont toutes sortes d'avis sur un corps qui ne leur appartient pas. Le couvrir, ne pas le couvrir, personne ne semble capable de décider.
"What happened to you, man?" I whisper. "Where'd you go?"
"Hell," he says. "I've finally found hell."
Et je comprends alors, dans un éclair qui me terrifie, ce que je veux, pour toujours : je veux passer le reste de ma vie avec elle. Je veux construire un avenir avec elle. Je veux vieillir avec elle.
Je veux l'épouser.
Mais tu m'as déçu en étant trop humaine, trop adorable. D'une naïveté insupportable.
Je ne suis même plus humaine. Je suis bien plus.
Les mécanismes de la popularité scolaire étaient déconcertants.
Si la décision que tu as prise t’a rapprochée de l’humanité, alors tu as bien agi.
"J'ai envie d'amis compréhensifs, de généreux inconnus et d'heures de sommeil ininterrompu. J'ai envie des myrtilles les plus douces, des meilleures conversations, des étreintes les plus chaleureuses et de voleurs qui vous dérobent la tristesse. J'ai envie d'aurores boréales et d'énormes fous rires; j'ai envie de l'infini et de tout ce qui nous y conduit, et j'ai envie de tout cela pour toi."
Ces lettres sont tout ce qui me reste.
26 amies auxquelles raconter mes histoires.
26 lettres, c'est tout ce qu'il me faut. Je peux les coudre ensemble pour créer des océans et des écosystèmes. Je peux les imbriquer pour former des planètes et des systèmes solaires. Je peux utiliser des lettres pour construire des gratte-ciel et des métropoles peuplées de gens, d'endroits, de choses et d'idées qui me sont plus réels a mes yeux que ses quatre murs.
Je n'ai besoin de rien d'autre que de lettres pour vivre.
Sans elles je n'existerais pas.
Parce que ces mots que j'écris sont la seule preuve que je suis toujours en vie.
J'ai l'impression de la connaître de manière si intime, si personnelle. En compagnie de ses pensées, je me sens en sécurité; je me sens le bienvenu, d'une certaine façon. Compris. A tel point qu'il m'arrive d'en oublier que c'est elle qui m'a tiré une balle dans le bras.
- Alice, ma chérie, disait-il en lui tendant la main. Pourquoi ressembler au reste d’entre nous ? Pourquoi est-ce toi qui dois changer ? Change plutôt la façon dont nous te voyons. Ne change pas ta manière d’être.
-Et toi, t'as quel âge?
-J'aurai onze l'an prochain.
Je souris à belle dents.
-T'en as donc dix.
Il croise les bras. fronce les sourcils.
-J'en aurai douze dans deux ans.
Je crois que j'adore déjà ce gamin.
(...)
-Tu es jeune.
-J'ai presque douze ans, dit James.
-On m'a dit que t'en avait dix.
-Je t'ai dit presque douze, rétorque James en roulant les yeux.
Les nouveaux citoyens de notre monde seront réduits à l'état de numéros qu'on pourra facilement remplacer, facilement supprimer, facilement détruire pour désobéissance.
La vérité est une maîtresse jalouse, perverse, qui ne dort jamais...
Je sais que le ciel s’écroule chaque jour. Le soleil dégringole dans l’océan et éclabousse de brun, de rouge, de jaune et d’orange le monde que je vois de ma fenêtre. Un million de feuilles d’une centaine de branches différentes plongent et tournoient dans le vent avec la fausse promesse d’un envol. La bourrasque s’empare de leurs ailes fanées uniquement pour les forcer à tomber dans l’oubli, juste bonnes à être piétinées par les soldats en faction au-dessous.
J’ai besoin de sauter par une fenêtre et m’envoler à dos de dragon vers un monde très loin d’ici.
- Je crois que je ne t'ai jamais entendue rire.
Il a atrocement raison. Tant et si bien que j'ignore comment réagir si ce n'est en lui disant la vérité. Mon sourire se fige en une ligne droite.
- Le rire, c'est la vie, dis-je dans un haussement d'épaules qui se voudrait désinvolte. Jusqu'ici, je n'étais pas vraiment en vie.
Tous s'embrase. Mes joues, mes mains, le creux de mon ventre, et je me noie dans des vagues d'émotions et des torrents de pluie fraîche, et je ne sens plus que la puissance de sa silhouette contre la mienne, et je ne veux plus jamais, jamais, jamais oublier cet instant. Je veux graver Adam dans ma chair et le conserver à jamais.
Embrase-moi, mon coeur, embrase-moi.