Citations de Takehiko Inoué (420)
C’était une chimère de me croire fort.
Je n’étais même pas prêt à mourir.
Voilà exactement la tension qui vous habite. Et moi, comme tous les autres, je ne suis que le miroir dans lequel elle se reflète.
Ne pleure de joie à la victoire que celui qui connaît l’amertume de la défaite.
Ne peut jouir pleinement de la vie que celui qui a regardé la mort en face.
Le bonheur, est-ce de se satisfaire du moment présent, quel qu’il soit ? Cela semble tout à la fois simple et difficile.
Takehiko Inoué.
Tout a une fin. Les bonnes comme les mauvaises choses.
Il faut s'accepter tel que l'on est vraiment, à l'instant présent pour pouvoir accepter les autres.
Occire soixante-dix hommes par intérêt personnel, c’est se ravaler au rang de bête et pire.
Le sabre est fait pour être au fourreau, même le plus acéré. S’il reste à nu, tous ceux que l’on croise deviennent des ennemis. Ne pas rengainer, c’est s’exposer immanquablement à être blessé.
On peut se battre en duel, vaincre ou être défait. Ce n'est pas d'être le plus fort que le monde s'en trouvera mieux.
Chien battu repart la queue basse, mais au moins il repart vivant.
Voilà ce que je voulais être. Je l'ai là sous les yeux, l'homme que j'ai toujours rêvé de devenir, en chair et en os.
Pour moi, le meilleur moyen d'apprendre à connaître vraiment quelqu'un, c'est de suivre ses traces.
C'est en surmontant les plus terribles difficultés, en s'infligeant le martyre... que l'esprit arrive à la plénitude sereine. Inshun en est certes bien conscient mais le génie qu'il est ... n'a encore jamais vu sa vie menacée.
C’est maintenant et ici qu’on se donne tout entier !!
Ne pas s’attacher aux détails. Mais voir l’ensemble… Sans vraiment regarder. Voilà le secret… C’est ça « voir ».
Le basket était, à l’origine, un sport où tout contact physique était interdit. Mais de nos jours, plus de 100 ans après sa naissance on voit de plus en plus l’importance que prennent les contacts dans ce sport. Pour aux postes de pivot ou d’ailier fort, il est nécessaire de savoir lutter physiquement.
Mon sabre ne fait qu'un avec l'univers.
Les morts ne reviennent pas.
En ce monde, il n’y a pas une seule personne qui puisse comprendre la souffrance qui est la tienne.
La force d'un bretteur, ça se sent.
Si on pouvait voler comme l'aigle, on ne verrait pas que la fourmi avance petit à petit. Pourtant elle avance, elle progresse.