Reiko pensa que dans le monde de l’entreprise, parer un indvidu de jolies couleurs était une façon de protéger la collectivité et de la valoriser. En revanche, noircir un portrait n’était généralement qu’une opinion subjective, basée sur un conflit d’intérêts personnel. La réalité, c’était que les gens étaient constituées de différentes nuances de gris, c’est à dire ambiguës.