Il crée alors la fondation Guillaume-Depardieu pour recueillir le témoignage des 770 000 Français victimes chaque année d’infections nosocomiales, dont 40 000 mortelles. « En un an, tout le monde commence à avoir peur des hôpitaux, commence à s’y intéresser de près ; les chiffres sont effarants. »
Ironie de l’histoire, en octobre 2008 Guillaume contracte une pneumonie, doublée d’une nouvelle infection par un staphylocoque doré résistant à la méticilline (MRSA16). Il décède trois jours plus tard.
(au sujet de Guillaume Depardieu)