C'est à travers ces rues qui portent un nom négrier que l'on peut aujourd'hui se représenter le passé d'une ville qui, détruite dans les bombardements de septembre 1944, gêne ses habitants dans la réappropriation du "Havre-négrier". C'est en cela que cette étude participe aussi au travail de mémoire sur la traite et l'esclavage.