Elle savait que cela devenait une obsession et que ce n’était pas sain, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle avait failli le perdre ce jour-là. Et elle ne pouvait s’appuyer sur personne. Elle était seule. Elle n’avait pas de famille. David était trop occupé à être important pour penser à aider Michael et elle aurait préféré manger du foie cru plutôt que de soumettre son fils, sensible et en difficulté, à ses méthodes parentales strictes. Elle n’avait même pas gardé son nom, et il ne s’était pas opposé à ce qu’elle change aussi le nom de famille de Michael en Vincent.
Il avait honte de son fils, et elle avait honte de lui.