Le dineh enseigne à ses membres que pour connaître le hozho, la paix et l'harmonie, ils doivent apprendre à pardonner, une variation du principe que prêchent les chrétiens belagaana dans leur Notre Père, mais qu'ils semblent beaucoup trop souvent omettre de respecter. Et la couverture n'encourageait assurément pas cet oubli des offenses du passé. Elle perpétuait le souvenirs des pires cruautés jamais infligées aux Navajos : la Longue Marche, la captivité, la misère, l'épouvantail bilan en vies humaines qui leur avait été imposé par l'irrépressible et féroce soif d'or et d'argent de la culture blanche...