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Citations de Ty Drago (36)


Alors, soudain, je me rendis compte de quelque chose.
Les Fossoyeurs étaient des enfants.
Des enfants. Tous, du premier au dernier. Bien organisés, certes. Assez efficaces, jusqu'à un certain point. Mais des gamins... qu'une simple blague au sujet d'un des leur pouvait distraire en un rien de temps.
A cet instant, je fus saisi d'une peur immense.
On n'avait pas une chance.
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Il y a des enfants parmi les Fossoyeurs, mais peu d'enfance.
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[...] Personne ne se porte vraiment volontaire pour vivre dans un cachot souterrain et humide, à se battre pour sauver sa peau contre une invasion toujours plus importante de cadavres réanimés. Non, aucun des gamins du Refuge n'avait fait le choix d'être là, aucun n'avait envie d'y être. Nous étions tous des Clairvoyants, nous avions eu la chance d'échapper aux Macchabs et d'avoir été trouvés par les Fossoyeurs plutôt que par les Cadavres.
Si nous retournions chez nous, les Macchabs nous y attraperaient et, à cause de ce que nous sommes capables de voir, ils nous tueraient, ainsi, sans doute, que tous les membres de notre famille.
Donc, si nous restions là et nous battions, c'est parce qu'on n'avait pas le choix...
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Un autre proverbe malum : « Le pire des imbéciles est celui qui se croit brillant ».
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- (…) À présent, petite leçon : quand tu te bats, le moindre mouvement de ton adversaire est prévisible si tu sais être attentif aux détails. Le combat à mains nues, c'est avant tout être capable de lire dans son ennemi, de déduire quel sera son prochain mouvement, et d'agir en conséquence. Tu saisis ?
- Je saisis, confirmai-je, quelque peu sceptique.
Elle sourit de nouveau :
- Bien, mais entre savoir et faire, il y a de la marge !
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Si l'obéissance aveugle était une faiblesse, c'était néanmoins quelque chose dont elle pouvait tirer avantage.
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Ils étaient morts, tous, enveloppés dans les corps dérobés d'hommes et de femmes qui avaient autrefois été de vrais gens, menant de véritables vies.
Les Macchabs étaient bel et bien des envahisseurs. Des assassins, aussi. Mais surtout des voleurs, des voleurs de dignité.
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- Non mais, sérieux, ce type a l'air d'être le roi des « no life » !
Il avait parlé un peu fort. Steve entendit et blêmit. Sharyn pouffa. Quelques secondes plus tard, toutes les recrues étaient pliées de rire, et on aurait dit que le pauvre Steve venait d'avaler un aliment un peu trop aigre...
Alors, soudain, je me rendis compte de quelque chose.
Les Fossoyeurs étaient des enfants.
Des enfants. Tous, du premier au dernier. Bien organisés, certes. Assez efficaces, jusqu'à un certain point. Mais des gamins... qu'une simple blague au sujet d'un des leurs pouvait distraire en un rien de temps.
À cet instant, je fus saisi d'une peur immense.
On n'avait pas une chance.
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- Souviens-toi, me dit calmement Sharyn, c'est pas une question de taille ou de force. Il faut avant tout de la vitesse, de la précision... et y croire.
- Croire à quoi ?
- Croire en toi, rouquin !

(dixit Sharyn à Will avant son premier combat avec le Burgermeister).
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- Comment tu le sais ? demandai-je, perplexe.
Dave répondit à ma question de quelque part derrière elle, son ton trahissant une certaine impatience :
- Parce qu'elle fait plus confiance à tes intuitions qu'aux certitudes de la plupart des gens. Et si vous pouviez arrêter votre cinéma une bonne fois pour toutes, ça me ferait des vacances !
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Des Macchabs (avec un M majuscule), c'est comme ça que nous les appelons. Pas des zombies, hein ? Les zombies, ce sont ces demeurés qui passent leur temps à beugler en titubant et qui sont aussi rapides que des tortues blessées. Les Macchabs, en revanche, sont vifs, intelligents et organisés. Pour tout le monde, ce sont des gens comme les autres, sauf pour les adolescents – enfin certains ados – qui les voient tels qu'ils sont vraiment. J'ai la « chance » – vous avez remarqué les guillemets ? – de faire partie de ceux-là...
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La Reine saisit les papiers, qu'elle entreprit de feuilleter. Plus tard, quand elle serait seule, elle lirait le tout à plusieurs reprises. Il était important de bien se familiariser avec son Enveloppe Charnelle, de faire corps avec son personnage, pour ainsi dire. Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas supervisé une colonisation planétaire, mais il était inimaginable d'ignorer la règle immémoriale : une Enveloppe Charnelle réussie est affaire de bluff autant que d'illusion.
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Il y a des enfants parmi les Fossoyeurs, Will, mais peu d'enfance. Nous grandissons tous bien plus vite que nous le devrions.
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Il faut de la maturité pour être capable de repérer l'immaturité chez les autres.
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Pierce tremblait littéralement de peur. Était-ce vraiment le même type qui avait menacé Helen, un sourire aux lèvres ? Les tortionnaires – et que sont les Macchabs, sinon des tortionnaires – tombent donc de si haut quand ils tombent ?
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Susan trouva cette question étrange. Après tout, si on avait retrouvé Will, il serait là aujourd'hui, non ? Mais elle avait eu l'occasion de constater que les gens ont tendance à faire des remarques maladroites, voire carrément stupides, lorsqu'ils sont confrontés à la tragédie de quelqu'un d'autre. (…) C'était très humain d'avoir la langue qui fourche quand on veut réconforter une personne à qui il est impossible d'apporter le moindre réconfort. C'était parfois usant, mais Susan pouvait pardonner ce genre de chose.
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- Je sais que tu es secoué, Will. Dans mon ancienne vie, mon père était sergent à la retraite. Et sa devise était : « Sois courageux ». Quoi qu'il advienne, un peu de bravoure te permettra toujours de te tirer de toutes les situations. Alors, le conseil que je te donne – mais ce n'est que mon conseil –, c'est ça : sois courageux.
- J'essaye, répondis-je en haussant faiblement les épaules.
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« Parfois, réclamer justice en pleurant n'est qu'une façon déguisée de se plaindre ».
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J'étais si obnubilé par l'idée d'assurer notre sécurité que j'en avais oublié la première règle de toute armée. Ne jamais abandonner un soldat en danger, quels que soient les risques encourus pour le secourir.
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C'était comme un poids autour de mon cou.

Mes excuses étaient sincères. Je ne m'étais rendu compte de l'importance de sa confiance qu'au moment où je l'avais perdue.
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