Citations de Valentine Lalande (72)
Une personne n’est jamais fondamentalement mauvaise. Si on ne lui offre pas la possibilité de montrer autre chose que la noirceur de son coeur, elle continuera à suivre le mauvais chemin.
Je ne te considère pas comme une princesse en détresse, Théophile. Mais dis-moi... pourquoi le prince ne pourrait pas être sauvé, lui non plus ?
Je ne vais pas te dire que je suis tombé amoureux de toi au premier regard. Ni la première fois où je t’ai parlé. Ce serait faux. Je suis tombé amoureux de toi comme on boit son café le matin. La première gorgée nous brûle et, ensuite, on s’habitue. Je me suis habitué à toi de la plus belle des manières, Sybille. Tu m’as fait comprendre que la couverture d’un livre est secondaire.
Tu sais, j’ai compris que la vie ne tenait qu’à un fil et… il n’y a plus qu’un Phile auquel je veux me pendre…c’est toi.
Si on est tous le con de quelqu'un, on est aussi tous moches aux yeux d'un autre. La beauté est relative.
- Je t'écoute quand tu me dis que je vais faire une connerie, tu sais ? Mais
parfois, je crois que les erreurs nous permettent d'avancer dans la vie. Tu ne
penses pas que nous sommes trop sages et que nous passons à côté d'un
millier de choses ?
Elle m'a ébloui et elle éclaire chacun de mes pas depuis.
– Personne ne maîtrise l’impact de ses décisions, j’affirme. On fait tous de mauvais choix… Reste à voir si tu es prête à changer et à te dessiner une nouvelle vie.
Parfois, il n'y a pas besoin de mot. Un bon câlin suffit.
Ma souffrance est une maladie qui me ronge de l'intérieur.
"— Tu m’aimes ? C’est ce que tu es en train de dire ?
Ses joues sont écarlates et les miennes doivent prendre la même teinte.
— Bien. Je t’aime bien.
C’est déjà pas mal."
Je n’ai rien pour être malheureux. Rien pour être heureux non plus.
Cette vie banale et insignifiante m’épuise. J’ai l’impression de ne plus ressentir et seule l’idée d’en finir me soulage. Le vide au creux de mes entrailles m’engouffre tout entier, jusqu’à me faire complètement disparaître. Je me balade dans la vie tel un pantin qui ne maîtrise plus rien, les bras ballants, le cœur en bout de course.
- Ces personnes se focalisent sur les défauts des autres, sur leurs failles, sur ce qui peut les rabaisser. Ils oublient de regarder ce qu'il y a de beau autour d'eux. C'est beaucoup plus facile de critiquer que de complimenter. Moi, j'ai décidé de vivre à contre-courant et d'accepter les difficultés.
Je suis convaincu que les gens se perdent dans les méandres des réseaux sociaux. S’ils revenaient à l𠆞ssentiel, à la sensation qu’on éprouve lorsqu’on couche son âme sur le papier ou sur une toile, l’univers en ressortirait grandi.
Il est arrogant, détestable, insolent. Pourtant, il peut aussi se montrer engagé, passionné, intéressant. Chaque jour, je découvre une nouvelle facette de sa personnalité qui me laisse croire que, pendant toutes ces années, je me suis trompé...
Dieu aurait dû établir un règlement comme quoi les cons sont censés être moches.
Et n’oublie pas ! Accepte-toi tel(lle) que tu es, avec tes failles et tes forces, tes réussites et tes échecs. Si tu tombes, il y aura toujours quelqu’un pour t’aider à te relever. TU es important(e) comme Sybille, rebelle comme Samuel, extravagant(e) comme Sofia ou solitaire comme Soren…
Ta voix mérite d’être entendue !
Partir. Rester. Se méfier. Faire Confiance.
Comme pour m’empêcher de penser davantage, Samuel se lève et pose un doigt rempli de chantilly sur mon nez. Surprise, je me mets à loucher, puis explose de rire. Il m’accorde un petit sourire en coin qui a le don de me faire craquer.
Ok, je reste.
– N’essayez pas de jouer un rôle. Soyez toujours vous-même. Les autres ne vous aimeront pas parce que vous êtes le plus populaire, le plus drôle ou le mieux fringué. Ils vous aimeront pour ce que vous êtes vraiment. S’ils ne vous apprécient pas à votre juste valeur, passez votre chemin. Nous ne sommes pas censés tous nous entendre… néanmoins, nous sommes censés tous nous respecter.
Si l’on croit que les yeux sont le reflet de l’âme, on pourrait penser que je suis quelqu’un d’intéressant et d’original.
En réalité, si la banalité portait un visage, ce serait le mien. Rien ne me démarque. Je suis la fadeur incarnée.