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4.75/5 (sur 51 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Valérie exerce des métiers d'accompagnements dans des domaines aussi divers que le sport de
haut niveau ou la réalisation de projets immobiliers.

Crédit photo : Eric Pietralunga / EPI-PHOTOGRAPHIES

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Juste le souvenir de cette maxime que tu me disais souvent pour me faire rire : Transformons les " sois belle et tais-toi ", en affirmatifs " sois toi et t'es belle ! "
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(…) Pas de roses sans épines, pour l’amateur !
Ne la cueille pas qui veut, la coquine !
Seul un coeur pur et sans peur
Impunément pourra, d’un méchant sécateur
Trancher la tige fière de l’orgueilleuse fleur !

R comme reine, radieuse, rêve !
O comme orgueil, opale, orfèvre !
S comme secret, sucre, silence !
E comme éveil, effluve, essence !

« LISKE, KOM ! », ALICE « DOMART », septembre 1977
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À un petit enfant

J’aurais bien voulu orner ton berceau avec des petites fleurs,
J’aurais voulu aussi saupoudrer ta petite tête de versets …
Mais mes fleurs sont sombres, mon enfant
Tristement, chante ma chanson …
Toi, dans ton berceau de neige, tu ne connais pas encore le chagrin …

Que pourrait-il y avoir d’autre dans ta petite tête que les mots de ta petite mère …
Des petits noeuds de satin ?
Mais pourtant … aucun vent ne dira ce que la vie t’apporter a
Tu es une si fragile petite goutte sur les pétales de roses rouges …

Ton petit coeur s’ouvrira
Aimera … comme moi
Aimera avec le sourire, mon enfant
Aimera avec un sanglot …
Oh, si uniquement le coeur pouvait fleurir pour la beauté de l’âme
Et si ton soleil pouvait ne pas mourir …
Oh mon enfant, comme le mien …

Sois la bienvenue dans la petite maison
Où la souffrance se fond dans l’amour
Sois la bienvenue, marguerite
Dans le champ de chardons fanés …

Oh … tout ira bien grâce à toi à nouveau :
Les épines sont plus douces
Quand la bouche d’un enfant
Sourit à travers les chardons …

« À UN PETIT ENFANT », Alice NAHON, « ENFANTS TROUVÉS, 1920.
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Comme si le fait d’écrire certaines idées allait leur ôter leur pouvoir morbide, les exorciser en quelques sortes … un peu comme lorsqu’on est enfant et qu’on lance par-dessus l’épaule gauche, derrière soi, quelques grains de sel … pour conjurer le sort.

« COMME SI LE FAIT … », ALICE « DOMART », DÉCEMBRE 1975
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L’ignorance est une peine bien plus profonde que la vérité quelle qu’elle soit.
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Ma douce maison,
Un jour il me faudra partir
Et toi, mon jardin bien aimé
Je ne te verrai plus …

Je vous emporterai
Tout au fond de mon coeur
Dans de lointain pays
Sans maison et sans fleurs …

Comme j’emporterai
L’amour que j’ai reçu
Les visages aimés
Et aussi le doux parfum des roses …

« MA DOUCE MAISON … », ALICE « DOMART », FÉVRIER 1984
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La boîte est fermée à clef. C’est une caisse à monnaie assez grande. Et sur le dessus, une étiquette est encore bien collée malgré son séjour dans l’eau. Il s’agit d’une petite bande dymo grisé par l’usure, qui porte des écritures blanches en relief presque illisibles. On dirait du braille. Je passe mes doigts dessus, comme s’ils pouvaient ressentir et lire à la place de mes yeux. Cela ne vient pas … mon coeur ne sait pas encore déchiffrer.
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Mon Père aimait les roses …
Les rouges, les jaunes, les roses

Mon Père aimait les roses,
Et sa vie en fut parfumée,
Bien que ses mains fussent déchirées par les épines
Et que souvent fut torturée son échine.

Mon Père aimait les roses …
Les rouges, les jaunes, les roses

Mon Père aimait les roses …
Et je les aime aussi.

À présent qu’il est parti,
Bien qu’à jamais ses paupières soient closes
Quand au jardin je regarde une rose
Il me regarde et me sourit

« MON PÈRE AIMAIT LES ROSES », ALICE « DOMART », 1970
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notre rencontre transforme l’instant de façon si intense, que nous en oublions même pourquoi nous sommes ici, sous les yeux médusés des autres patients.
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Alors les pièces du puzzle se rassemblent. Les mots atteignent le cerveau, puis se confrontent aux désirs du cœur.
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