Communication animale, extrait de "Des paroles et des poils", reportage sur la télépathie animale de Fabien Grenon avec Valérie Lebon, communicatrice animal.
Nos animaux peuvent nous renvoyer inconsciemment mais aussi consciemment ce que nous vivons à l'intérieur de nous, comme le ferait un miroir.
Ils peuvent reproduire nos maux physiques et souffrir des mêmes maladies que nous, refléter nos émotions diverses, se montrer tantôt déprimés, tantôt heureux, tristes en fonction de ce que nous traversons et adopter une certain comportement afin de nous montrer ce qui dysfonctionne dans nos relations et même agir de façon délibérée pour nous faire évoluer, grandir, et nous aider à guérir. Ils agissent donc bien, encore une fois, comme des "reflets" de nous-mêmes.
Communiquer fait partie des grands mystères de l'existence, au même titre que lever le bras ou laisser son cœur battre.
(...) les animaux n'ont pas de mental. leur degré de conscience s'arrête à l’émotionnel. Ils sont donc moins limités que nous au niveau de la communication, plus spontanés, plus "présents". Leur mode de communication entre eux n'a donc pas besoin de paroles. Il est principalement télépathique.
Finalement, les rêves d'enfant ne font-ils pas la réussite d'une vie, lorsqu'ils se réalisent ?
« Il nous appartient en tant qu’humains, de mettre fin au massacre et à la brutalité à l’égard du règne animal ! Il nous appartient de cesser d’y contribuer par nos comportements, nos attitudes égoïstes et notre indifférence. » (p. 74)
« La façon dont un animal conclut sa vie est trop souvent notre décision personnelle alors qu’il faudrait ici prendre l’avis du principal intéressé. » (p. 71)
« Leur amour inconditionnel nous nourrit et nous enveloppe d’une infinie douceur à chaque instant de la vie, dans les bons comme dans les mauvais moments. Leur présence nous procure un bien-être comme bien peu d’individus savent le faire. » (p. 13)
« Je vous invite à ne rien croire de tout ce que vous avez absorbé dans cet ouvrage, sans valider par le ressenti de l’expérience et/ou par le discernement de comment ça vibre en vous. » (p. 192)
« Il est temps de prendre ce temps entre quatre yeux avec votre compagnon animal. […] Il est bon de verbaliser tout ce que vous souhaitez lui dire avant qu’il rende son dernier souffle. » (p. 89)