Le repas du soir fut morne et sans saveur. Elisabeth déclara qu’elle était trop épuisée pour me faire manger. Léonie était rentrée chez elle, Michel me servit d’assistant. Pressé d’en finir, il me fit maladroitement avaler ma soupe, au point que j’en attrapai le hoquet.(…)Sans me laisser le temps de respirer, mon gendre enchaîna aussitôt avec une compote de pommes. (..) J’avais l’impression d’être une oie soumise au gavage