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Citation de Cricri124


A Kobrine, il ne s’étonnait plus de voir les foules de gens avec des baluchons, les femmes en pleurs qui avaient perdu leurs enfants dans la cohue, le regard épuisé des vieilles. A kobrine, il s’étonnait de voir des maisonnettes proprettes avec des tuiles rouges, des rideaux aux fenêtres, des pelouses, des parterres de fleurs ; il comprit alors qu’il voyait le monde avec les yeux de la guerre…

Première partie, Chapitre 21
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