Assis à l‘ombre d’un tilleul en fleurs, Krymov avait cette expression de béatitude que l’on voit sur les visages des hommes venus à la campagne après de longues heures passées dans des pièces surchauffées, enfumées, et à qui l’air pur imprégné de senteurs, l’eau de source fraiche, le vent qui bruit dans les branches des sapins procurent par leur simple présence une sensation de bonheur physique absolu.
Première partie, Chapitre 33