Citations de Véronique Maciejak (106)
Nolwenn semblait si préoccupée par ses déboires amoureux qu'elle ne laissa à aucun instant son hôtesse s'exprimer. Mireille, lasse de la situation, avait fini par se refermer comme une huître. Et à la fin de la soirée, lorsque Nolwenn lui avait demandé (enfin !) de ses nouvelles, elle avait répondu par un laconique : " Oui, oui, , moi ça va, rien de neuf !"
Ecoute antipathique : vous détestez ce que vous dit l'autre et vous critiquez ses propos. (...)
Ecoute apathique : vous restez totalement indifférent. Marrant, je reconnais Nolwenn. Dès que je raconte un truc sur moi, elle se tait puis renchérit sur elle.
Ecoute sympathique : vous prenez parti pour la personne qui vous parle. Telle une éponge, vous absorbez ses sentiments et ses émotions. Vous imaginez ce que vous ressentiriez à sa place et vous cherchez à trouver des solutions pour résoudre son problème.Vous anticipez ses réactions et n'hésitez pas à partager avec elle une expérience de votre vie que vous jugez similaire. (...)
Et enfin, l'écoute empathique : autrement appelée la vraie écoute. Vous écoutez sans aucune intention de juger, comparer ou critiquer. vous laissez l'autre s'exprimer sans l'interrompre.
Si nous pensons que les choses vont mal, notre cerveau se concentrera sur tous les détails qui nous font souffrir ou nous agacent. Nous nous conforterons alors dans l'idée que nous sommes dans une réalité difficile où rien ne va. En revanche, si nous souhaitons sincèrement que notre vie s'améliore, notre conscience posera son attention sur chaque élément positif, aussi petit soit-il, de notre existence. Nous découvrirons alors le monde avec plus de sérénité et de joie.
Cette attitude mentale se nomme la pensée positive.
Lors de sa première visite, l'agent immobilier lui avait assuré qu'elle pourrait voir la tour Eiffel de chez elle. En montant sur un escabeau et en penchant la tête à quatre-vingt-dix degrés, peut-être...
- Les parents hélicoptères ? fit Mireille sans comprendre.
- Ce terme désigne les parents qui volent au secours de leur enfant à la moindre difficulté.
Crois en toi avant de croire à quoi que ce soit d'autre.
La grande majorité d'entre nous courent après le temps en prétextant ne pas vouloir en perdre.
Je voulais prendre un congé parental de trois ans... La blague ! J'ai tenu six mois ! Les enfants à temps plein, pas de cantine le midi, la maison à faire tourner, un mari aux abonnés absents... Je n'en pouvais plus. On peut vite se laisser entraîner dans une spirale infernale. Et comme on est "au foyer", tout le monde compte sur nous pour tout. On n'a jamais de vrai jour de repos.
Votre vie n’est en réalité qu’une grande pièce de théâtre dont vous êtes, Emma, l’actrice principale. Personne ne tire les ficelles ou ne vous dicte votre conduite ; vous improvisez jour après jour vos scènes sans connaître l’issue finale.
Si on décide d'être parent au foyer, c'est avant tout pour passer plus de bon temps avec ses enfants, pas pour devenir un esclave de contraintes quotidiennes.
J'ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s'accélérait en vieillissant et qu'il était important non pas d'ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années.
Sénèque disait: "Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie."
Son CV ne cessait de s'allonger au fil des ans, mais pas sa liste d'amis.
Le bonheur, ça devrait être le quotidien, pas une option pour plus tard. Et quand une chance de passer un bon moment se présente, il faut savoir la saisir, sans remettre au lendemain.
Pour moi, s'aimer, c'est devenir son allié, son meilleur ami.
C'est identifier ses qualités et accepter ses défauts.
C'est se reconnaître à sa juste valeur.
Ni plus ni moins.
Il me semble qu'une fois que l'on s'aime on peut réellement être libre.
Libre d'être soi-même, libre d'être heureux, libre de rayonner partout
Quand j'étais petit, ma mère m'a dit que e bonheur était la clé de la vie.
A l'école, quand on m'a demandé d'écrire ce que je voulais être plus tard, j'ai répondu "heureux"
Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, je leur ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie
John Lennon
Être parent est le travail le plus difficile que je connaisse. Et aussi le plus important ! Nous formons les adultes de demain, c'est un pouvoir incroyable.
Comme Socrate se plaisait à dire : " Ce n'est pas que nous manquons de temps, c'est surtout que nous en perdons beaucoup."
Je terminerai en disant que nous ne sommes pas heureux par hasard ou pour ce que nous possédons. Nous sommes heureux parce que nous avons décidé de l'être. C'est un sentiment qu'il faut construire, puis nourrir quotidiennement pour qu'il devienne ensuite une habitude. Le bonheur est, selon moi, une philosophie, un chemin de vie et non un aboutissement comme certains le croient.
Prendre soin de soi pour mieux prendre soin des autres.