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3.73/5 (sur 111 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Floride , le 11/03/1969
Biographie :

Victor Gischler est un romancier et un scénariste de BD.

Il vit à Claremore dans l'Oklahoma où il anime un atelier d'écriture à la Rogers State University.

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Bibliographie de Victor Gischler   (40)Voir plus

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Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
Tu parles bien comme un idiot de gringo. Que ces gens soient prêts à braver la mort pour venir dans ton pays devrait te mettre la puce à l'oreille. L'homme ou la femme le plus pauvre qui vit dans un de tes ghettos est bien mieux loti que des milliers d'autres, juste de l'autre côté du fleuve. Vous ne connaissez rien de la vraie pauvreté.
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Wayne siégeait au conseil municipal mais il balayait toujours son bar lui-même, chaque soir. Coyote Crossing était ce genre de ville. Bon Dieu, si un jour je devenais patron de quoi que ce soit, faudrait pas s'attendre à ce que je passe le balai. Quel intérêt sinon ?
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Un tas de merdaillons sans cervelle s'imaginent que le boulot de détective privé consiste principalement à relever des empreintes ou à examiner des cendres de cigare à la loupe comme ce pauvre connard de Sherlock Holmes.
De la couille en barre !
Il s'agit avant tout de poser les bonnes questions et d'extorquer les réponses utiles.
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Il y avait des centaines d'endroits comme ça en Oklahoma, où une ville s'arrêtait soudain et où on se retrouvait à regarder dans le vide.
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La route des enfers est facile à suivre : on y va les yeux fermés.
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— Je vais y aller. Billy, je veux que tu ouvres le poste et que tu commences la paperasse. Toby, surveille le corps.
Je clignai des yeux.
— Quoi ?
— Surveille le corps.
— Il va aller nulle part.
Krueger me lança un regard qui suffit à me faire taire.
— Fils, on ne peut pas laisser traîner un cadavre, comme ça, sans surveillance. Tu es l’adjoint du shérif à mi-temps, à toi le sale boulot. Tu veux le décrocher, ton plein temps, non ?
— OK.
— Billy va s’attaquer à la paperasse et laisser un message au légiste du comté. Dieu sait combien de temps ça va prendre à cette grosse feignasse pour arriver jusqu’ici. Je ne serai pas parti longtemps.
Il regarda mon revolver dans le holster que je tenais à la main.
— Colle ça sous ton siège de bagnole.
Billy me fit un clin d’œil et partit pour le poste.
Le chef me posa une main sur l’épaule.
— Tu sais que j’ai confiance en toi, gamin ?
— Je sais.
— Mais il faut que tu grandisses un peu. Si on te prend à plein temps, il faudra prouver aux autres que t’es à la hauteur. Que tu fais partie de l’équipe. D’accord ?
J’acquiesçai.
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Nadira : Magic Town is... Well... It's a place of joinings, a place where things come together. Like where the river meets the sea. Yes, that's a good way to put it, I think. Fresh water mixes with salt water. Brackish, they call it, and it's neither river nor ocean. Right now, even as we speak, Magic Town is deciding what it's going to be. We need to nudge it in the right direction.
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Je pense que la condition naturelle de l’Humanité est d’être dépassée. Et notre réaction traduit qui nous sommes.
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Billy s’accroupit près de Luke et fit la grimace comme s’il avait bouffé une salade d’œufs pourris.
— Bon Dieu, Luke a dû foutre quelqu’un sacrément en rogne, hein ? Je parie qu’il s’est saoulé et qu’il a laissé traîner ses pattes sur la fille qu’y fallait pas. La moitié des mecs du coin ont un flingue sous leurs sièges de bagnole.
— Hm-hm.
Je continuai à fumer. Il faisait trop chaud pour avoir envie d’alimenter la conversation.
Billy vit le chef sortir et se redressa, en lissant sa cravate.
— Je suis venu aussi vite que j’ai pu, Frank.
Krueger baissa les yeux sur sa montre, avant de les lever à nouveau sur Billy.
— Tu t’es pris une tasse de café ? T’as lu le journal du matin ?
Billy sourit comme si c’était une blague, mais il savait que le chef ne plaisantait pas.
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— Je compte neuf impacts de balles. Toi aussi ?
Je ne me fatiguai pas à compter.
— Ouais.
Je tripotai l’étoile en fer-blanc épinglée sur mon tee-shirt Weezer ; je me sentais idiot avec mes baskets montantes délacées et mon pantalon de jogging. Quand le coup de fil du chef m’avait tiré du lit à minuit, j’avais chopé les premières fringues qui traînaient et je m’étais précipité dehors. Je portais mon revolver dans son holster derrière le dos. J’avais essayé de fixer le holster sur le jogging, mais le flingue était trop lourd et n’arrêtait pas de tirer sur l’élastique — résultat, le pantalon descendait sous la raie du cul.
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