Depuis la route, Theresa jette un dernier coup d'oeil à son fils aîné. Elle l'affectionne sans jamais lui avoir prodigué beaucoup de caresses; cela ne se faisait pas dans le village d'Ansfelden. On y a ceci en commun avec ces bougres de luthériens de ne jamais laisser déborder ses émotions. (p. 22)