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Critiques de Vincent Henry (37)
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Franchement, un must pour les anarchistes; une belle découverte graphique et idéelle pour les autres, un élan de poésie et d'esprit libertaire. On se souviendra, en le lisant, du film "Le voleur" avec Bébel, ou, mais en plus joyeux, de "La bande à Bonnot".



Plus de soleil aussi.



Les fans des "vieux fourneaux" apprécieront aussi.



Je connaissais l'autobiographie du personnage, que j'ai chez moi, que j'ai dévorée il y a des lustres. Cette adaptation en bédé permet de se plonger dans un univers à la fois chaud, méditerranéen et idéologiquement bien planté. C'est léger, ça manque peut-être un tout petit poil de la dimension sociale qu'on attendrait un peu plus que sur une planche consacrée aux esclaves de Zanzibar, mais on se laisse porter par la pensée libre de Jacob, ce cher Marius Alexandre, cet homme qui aurait mérité sa place entre Rimbaud et Brel, manifestement fait pour changer le monde.



On s'arrête au moment où il se fond dans une cale de bateau, s'engouffre vers le bagne... Qui sait? Matière à un second tome?



A encourager de sa lecture, de sa découverte.
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Premier album pour autant que je sache que cet Alexandre Jacob, Journal d'un cambrioleur anarchiste. Le scénariste est juste crédité pour un autre album paru en 2014.

le livre était vendu comme la biographie du personnage qui a servi d'inspiration à Arsène Lupin. C'est une manière comme une autre d'attirer l'attention. Il y a bien une allusion en fin d'album, mais dans les faits, l'influence réelle d'Alexandre Jacob sur le personnage de Maurice Leblanc semble plus relever de la légende.

Alexandre Jacob était un anarchiste. Pour lui, la vie ne lui laissait que le choix entre l'esclavage (travailler pour enrichir un autre), la mendicité et le vol. Il choisit la dernière voie, se faisant une spécialité des cambriolages de demeures bourgeoises, de riches rentiers, de hauts focntionnaires, d'écclesiastiques... Si le personnage force une certaine sympathie, il n'est pas pour autant un Robin des Bois ou un justicier. Il vole, il redistribue une partie à la cause. Mais son action politique reste limitée. Reste un orateur séduisant et non dénué d'humour qui n'a poas hésité à utiliser son procès comme tribune.

Cette biographie revient sur sa vie jusqu'à son procès en 1905, le récit se construisant en flashbacks à partir de ce procès-spectacle qui polarisa l'opinion publique. L'influence de Blain est très présente. Presque écrasante. Ce livre a presque un charme désuet, tant il me semble influencé par les grandes heures de la collection Poisson Pilote. Alexandre Jacob fait partie de ces bandes dessinées plutôt bien faîtes mais qui me paraissanet trop marquées par les influences des auteurs. Il manque de personnalité. Un travail appliqué et bien fait mais un peu vide. Cela dit, question de goût, je préfère des auteurs biberonnés à Blain et quelques autres qu'à la succession sans fin de resucée post Delcourt et Soleil qui ont rarement beaucoup de saveur.
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John Bost, un précurseur

Une BD intéressante pour découvrir John Bost et la genèse de ses foyers. Le contexte narratif est le recrutement d'un adjoint qui aurait en charge de seconder puis de succéder à John Bost. La BD revient sur le parcours atypique de John Bost et explore sa personnalité complexe. Nous découvrons ainsi ce qui a animé John Bost à devenir Pasteur, puis à créer les premiers foyers. La BD aborde aussi des thématiques comme le fonctionnement ou le financement des foyers.
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Jacques Damour

Adapté d’une nouvelle d’Emile Zola datant de 1880, Vincent Henry et Gaël Henry signent une œuvre très intéressante autant par le graphisme que les choix scénaristique. Je trouve que c’est un exercice toujours compliqué à réaliser car il faut toujours trouver le juste équilibre pour rendre la bande dessinée intéressante sans tomber sur l’écueil de l’adaptation linéaire totalement boring. La couverture très soignée a attiré mon oeil dans les rayonnages de la médiathèque et le « D’après Emile Zola » a titillé ma curiosité. En tout cas, j’aime beaucoup la composition de cette couverture. Je ne ferais pas comparaison entre la nouvelle et la bande dessinée, puisque je n’ai pas lu cette dernière, mais cette plongée dans la France du la IIIème République est passionnante.



Cette adaptation est réussi grâce une scénario intelligent et bien conçu, il est vrai que l’œuvre de Zola ne peut que proposer un matériau de base très intéressant. Naturaliste jusqu’au bout des ongles, il dépeint avec un réalisme très poussé la vie des ses contemporains. Son œuvre est une photographie, utilisant des mots, des us et coutumes du XIXème siècle, c’est documenté, minutieux et passionnant. Les auteurs ont fait le choix de placer Emile Zola au cœur de leur histoire, c’est à lui que les proches de Jacques Damour se confient et racontent l’histoire de ce dernier, le lecteur navigue donc le temps, ici, pas de récit chronologique. J’ai beaucoup aimé ce principe et je pense que cela donne une autre perspective à l’œuvre. L’histoire en elle-même peut paraître peu passionnante, même si la vie de Jacques Damour a été pleine de rebondissements, ce n’est au final pas le plus intéressant. Enfin de mon point de vue… J’ai trouvé le côté sociale et psychologique bien plus intéressant. J’ai aimé voir les différentes interactions que Jacques développent au fil du récit avec les autres protagonistes qu’ils soient amis ou familles. Je trouve que beaucoup d’émotions se dégagent du récit, de la joie, de la tristesse, des regrets, de la bienveillance… Une récit à la fois simple et complexe.



Niveau graphisme, j’avoue que j’ai été déstabilisée au début par le trait très particulier mais j’ai fini par tomber sous le charme des planches. Un gros coup de cœur pour les planches où se déploient de très belles séquences muettes, pas besoin de dialogues, elles peuvent être émouvantes ou drôles pour certaines. J’ai également beaucoup aimé les arrières plans et le choix de couleurs qui rendent un très beau rendu. La bande dessinée se lit aisément.



J’ai emprunté Jacques Damour vraiment par hasard et je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre et ce fût une très belle surprise. Une vraie découverte. J’aime beaucoup quand les auteurs classiques sont dépoussiérés par les auteurs de bandes dessinées, cela donne une nouvelle vie à des œuvres qui pourraient facilement dans l’oubli et cela permet aussi de toucher des lecteurs qui n’auraient jamais ouvert un Zola de leur vie. Il va falloir que je regarde si je trouve des adaptations BD de Balzac, elles me réconcilieraient peut-être avec l’auteur… Ou pas 😅


Lien : https://missbiblioaddict.wor..
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Jacques Damour

je ne connaissais pas du tout cette nouvelle d'Émile Zola. quelle jolie découverte.... le personnage principal est tellement attachant... les illustrations sont magnifiques. le livre est lu en 1h mais il mérite vraiment qu'on s'intéresse à chaque illustration...
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Les éditions Sarbacane ont fait paraître une imposante bande dessinée de Vincent et Gaël Henry sur la vie mouvementée d’Alexandre Marius Jacob, anarchiste cambrioleur au parcours peu commun. Né à Marseille en 1879, il fut tour à tour marin au long cours, typographe, monte-en-l’air ingénieux à la tête des « Travailleurs de la nuit », une bande créditée de plus de 500 cambriolages à travers la France, théoricien anarchiste et enfin bagnard durant vingt-deux ans. D’un style simple, les 150 pages de noir et blanc présentent la vie de cet honnête cambrioleur de son enfance à son départ pour Cayenne.

Je ne résiste pas à l’envie de vous reproduire ici une longue tirade prononcée par Alexandre Jacob lors de son procès en mars 1905 :

« Car la société ne m’accordait que trois moyens d’existence : le travail, la mendicité, le vol. Le travail, loin de me répugner, me plaît, l’homme ne peut même pas se passer de travailler. Ses muscles, son cerveau possèdent une somme d’énergie à dépenser. Ce qui m’a répugné, c’est de suer sang et eau pour l’aumône d’un salaire, c’est de créer des richesses dont j’aurais été frustré. En un mot, il m’a répugné de me livrer à la prostitution du travail. La mendicité, c’est l’avilissement, la négation de toute dignité. Tout homme a droit au banquet de sa vie. Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend. »

Une postface de Jean-Marc Delpech ainsi qu’une chronologie enrichissent ce bel ouvrage.

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Jacques Damour

Travailleur courageux, père de deux beaux enfants, marié à une femme jolie et raisonnable, Jacques Damour aurait pu mener une existence simple et heureuse. Mais l’Histoire fait irruption dans son atelier: la Commune lui arrache son fils, le pousse à prendre les armes et fait voler en éclats son bonheur domestique.



Déporté à Nouméa, le ciseleur s’évade mais il est déclaré mort dans le naufrage de son embarcation. Rétabli, il ne peut regagner la France et part pour l’Australie puis pour l’Amérique, tentant de faire fortune.



Les années passent et de banqueroute en faillite, Jacques Damour retrouve Paris lorsque les communards sont amnistiés. Il retourne à son ancienne adresse mais sa femme et sa fille sont parties depuis longtemps. Désespéré, il est prêt à se jeter dans la Seine lorsque sont copain Berru le voit et le sauve in extremis…



Avant d’être un roman graphique composé à quatre mains par Vincent Henry et Gaël Henry, Jacques Damour était une courte nouvelle du grand romancier naturaliste, Emile Zola.



Si je ne lis plus que rarement des classiques, à mon grand regret d’ailleurs, Emile Zola fait partie de mon Panthéon littéraire et sans doute mon écrivain préféré du XIXè siècle. J’ai lu la grande majorité des romans du cycle des Rougon-Macquart, quelques-unes de ses nouvelles et un recueil de ses meilleurs articles de journaux mais avant d’emprunter cette bande dessinée, je n’avais jamais entendu parler de Jacques Damour.



Et en refermant cet ouvrage, je n’ai qu’une envie : lire la nouvelle originale et retrouver la plume de Zola même si j’ai bien apprécié ce roman graphique, à l’exception des dessins qui ne sont absolument pas de mon goût même si la mise en couleur de Lucie Firoud est très réussie.



Vincent Henry et Gaël Henry signent un scénario tout à fait intéressant, fait d’allers et retours réussis dans la vie cet homme simple, travailleur et courageux, chauffé à blanc par un agitateur et qui voit sa vie brisée par la Commune.



Je ne saurai vous dire si c’est une adaptation réussie ou non n’ayant pas lu la nouvelle naturaliste de Zola, mais les thématiques qu’abordent les auteurs sont chères à Zola comme la vie des petites gens, la misère sociale, l’inéluctabilité du destin…



J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre les péripéties qui émaillent la vie de Jacques Damour, son quotidien avant les évènements, sa descente aux enfers et sa renaissance. Je l’ai trouvé très attachant et très humain, un homme intègre et honnête, qui ne change pas et qui reste fidèle à ses idéaux.



Autre bon point : les séquences sans texte qui sont très réussies et apportent du rythme et de l’humour au récit.



Vous l’aurez compris, Jacques Damour est une jolie histoire, portée par un homme dépassé par son destin, que je ne peux que vous encourager à découvrir même si je n’ai pas aimé le graphisme de Gaël Henry, peut-être qu’il sera davantage à votre goût.




Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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Jacques Damour

L’histoire est assez sympathique, j’ai apprécié me plonger dans un autre siècle ou le siège Prussiens mettait un peu inconnue, j’ai pu découvrir encore un peu de l’histoire de mon pays tout en suivant la vie d’un homme père de famille aimant qui ne pensait pas ce battre un jour. L’auteur met d’ailleurs en lumière l’endoctrinement qui peut être fait (sujet d’actualité alors que le livre originale date de 1900).



Même si les illustrations ne sont pas poussés aux détails et ne m’ont pas à cent pour cent conquise elle m’ont quand même permis de m’imbiber de l’atmosphère qui est parfois lourde et pesante surtout lorsqu’il est question de la guerre.



De plus j’ai aimé suivre la vie de notre protagoniste, chaque planche et une nouvelle péripétie pour lui. Il a vécu des choses atroces et triste et pourtant il n’est pas devenue un rustre qui déteste tout le monde. J’avoue avoir était touché par plusieurs illustrations qui sont bien mis en parallèle avec le texte. C’est un beau travail qui à été amené.



Je me suis attaché à Jacques qui m’a beaucoup peiné, il voulait ce qu’il y a de meilleurs pour sa famille (comme avoir plein d’argent) est à fini par si perdre. Une belle leçon de vie .



En conclusion une bande dessiné qui m’a transporté et m’a touché, j’ai apprécié découvrir cet homme vrai qui aimé sa famille et son pays, mais qui à était un peu faible ..



Si vous avez du mal avec les classiques n’hésitez pas à jeter un œil à cette ouvrage , il en vaut la peine 😉
Lien : https://lalectricedyslexique..
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Jacques Damour

Une reconstitution d'après l’œuvre d’Émile Zola, Jacques Damour revient du bagne de Nouvelle-Calédonie suite à des choix de sa vie. Tout d'abord, il rencontre Berru qui influence dans une réflexion révolutionnaire.

Une bd très bien adaptée avec une bonne dynamique dans l'intrigue.
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Jacques Damour

On retrouve ce trait vif et envolé, loin de tout réalisme – sans tomber dans l’abstraction toutefois – mais privilégiant le mouvement.
Lien : http://www.bodoi.info/jacque..
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Jacques Damour

Une reconstitution, de facture certes assez classique, mais fraîche et vivante.
Lien : http://www.actuabd.com/Jacqu..
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Jacques Damour

Plus une réinterprétation libre qu’une adaptation au sens strict du terme, Jacques Damour présente une vision pleine de charme, mais nullement idéalisée, du dernier quart du XIXe siècle. Précision et poésie, l'architecte des Rougon-Macquart aurait certainement apprécié l’effort.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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John Bost, un précurseur

Une évocation très classique de l’homme, malgré le ressort narratif initial, consistant à voir John Bost à travers Ernest Rayroux.
Lien : http://www.bodoi.info/john-b..
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John Bost, un précurseur

Un reportage intéressant, quoiqu’un peu aride, sur le fondateur d’une œuvre toujours bien vivante en France.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Une excellente biographie d’Alexandre Marius Jacob, cambrioleur haut en couleur qui aurait inspiré à Maurice Leblanc le personnage d’Arsène Lupin.
Lien : http://www.avoir-alire.com/a..
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Qu'ils soient chrétiens, ou au contraire athées, les penseurs anarchistes ont toujours dénoncé le caractère arbitraire de la propriété, suivant la formule lapidaire célèbre : - La propriété, c'est le vol !



Plus qu'une biographie circonstanciée, Vincent et Gaël Henry avec "Alexandre Jacob, Journal d'un anarchiste cambrioleur", paru en 2016 chez Sarbacane, proposent d'aborder le thème de l'anarchie et de ses limites à travers le récit des tribulations d'Alexandre Marius Jacob (1879-1954).



Le Marseillais Alexandre Jacob, en effet, fut un authentique cambrioleur, aussi rusé qu'habile, n'hésitant cependant pas à faire feu sur les représentants de l'ordre public ; certes, Alexandre Jacob mit à profit ses procès pour dénoncer l'exploitation dont les milieux ouvriers étaient victimes ; certes, le butin de ses cambriolages servit à financer des publications anarchistes désintéressées... mais les bourgeois aussi ont leurs "bonnes oeuvres", qui les rachètent à leurs propres yeux et aux yeux du monde.



Le vol est, bien sûr, une première limite de l'anarchie telle qu'Alexandre Jacob l'envisage ; une limite comparable à l'usage du terrorisme : cambriolage et terrorisme justifient en effet les moyens de répression mis en oeuvre par l'Etat bourgeois autant qu'ils servent à le combattre.



Cette limite est facile à cerner ; les origines modestes d'Alexandre Jacob constituent-elles une excuse ? Non, car son goût pour l'aventure, pour l'indépendance, son tempérament audacieux, l'ont probablement poussé dans cette voie, plus que la nécessité. Les origines modestes d'Alexandre expliquent plutôt pourquoi il est devenu un marginal, pourquoi il a fui sa condition, sans pour autant la trahir en s'embourgeoisant. Alexandre Jacob n'était pas né pour être esclave, mais il s'est refusé à faire partie de l'espèce des maîtres, en quoi sa ruse et son audace auraient pu l'aider à se transformer.



- Ce qui oppose l'anarchie au socialisme est peut-être plus difficile à cerner aujourd'hui ?



L'anarchie souligne l'iniquité sociale, la férocité de l'espèce humaine ; en prétendant que l'on peut remédier à cette férocité légalement, le socialisme s'avère un nouvel opium du peuple, succédant ainsi aux religions inclinant à l'optimisme, à la passivité et à la confiance dans l'Etat. Le socialiste revendique son appartenance à l'espèce humaine, tandis que l'anarchiste, lui, est un individualiste.



Comme la propriété demeure, et que les moyens mis en oeuvre pour la protéger de la convoitise de ceux qui ne possèdent rien n'ont jamais été aussi sophistiqués et puissants, l'iniquité, qui est le point de départ de l'anarchie, est toujours aussi forte. Quant à l'utopie socialiste, sa promesse de lendemains qui chantent finit par paraître un mirage à ses paroissiens les plus dévots.



Les auteurs de cette BD (basée principalement sur un ouvrage de Jean-Marc Delpech) soulignent à juste titre que l'anarchie joue un rôle crucial dans les temps modernes, aussi difficile soit-il à cerner précisément. Le socialisme, qui est selon K. Marx la meilleure ruse inventée par la bourgeoisie afin de contenir l'anarchisme - le socialisme est-il une digue solide, à l'épreuve du temps ? On serait tenté de croire, si on examine la presse française, aussi muette aujourd'hui qu'elle fut éloquente au XIXe siècle, que l'anarchie est morte. Mais, a contrario, l'avenir du monde n'a jamais paru aussi incertain.
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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Alexandre Jacob : Journal d'un anarchiste c..

Bravo à Gaël et Vincent Henry qui ont su nous tenir en haleine en nous projetant dans la vie de cet anarchiste cambrioleur, espiègle et rigolard mais sérieux.
Lien : http://www.actuabd.com/Alexa..
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