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Critiques de Vincent Pichon-Varin (7)
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Mon père, c'était toi ?

Un livre distrayant qui se lit vite et bien. Pas de la grande littérature, pas un thème très émouvant, un livre gentillet c'est tout... Bien à une époque où il y a beaucoup de noir, un conte des temps modernes.
Lien : http://araucaria.20six.fr
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Les colocs

Dans un style simple et touchant, l'auteur nous fait partager une colocation d'amis aux histoires et personnalités diverses où est toujours présent un esprit fort d'amitié et de soutien face aux petits et gros soucis de la vie. Une lecture très agréable et réconfortante.
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Mon père, c'était toi ?

Gilles, la quarantaine, travaille comme vendeur de chaussures le jour et se produit au cabaret le soir. Il vit avec sa femme Lucie et leur fille Honorine. Il n'a jamais connu son père. Alors quand un notaire le contacte pour lui dire qu'il vient d'hériter d'une grande maison en Normandie, il est plus qu'intrigué ! Il s'y rend avec sa mère et les collocs de celle ci, un groupe de vieux déjantés et excentriques ! Sur place, il cherche des indices sur son père ... mais il sent que quelque chose cloche ...



J'ai découvert ce livre dans la sélection du Prix Confidentielles (vive le retard de chroniques sur ce blog...) et je dois dire qu'il s'agit d'une lecture plaisante et agréable.

J'ai aimé les personnages assez délurés comme ceux du groupe de collocs et le fait qu'ils vivents tous ensemble m'a un peu rappelé le livre "Et puis Paulette" de Barbara Constantine ! J'ai aussi aimé le côté intrigue et suspense de ce roman alors qu'il ne s'agit nullement d'un polar. Le lecteur s'interroge régulièrement : Qui était cet homme ? Est-ce vraiment le père de Gilles ? (et j'en passe pour conserver le mystère ^^)



Cependant j'avais un peu deviné certains éléments de la fin... et d'ailleurs le titre donne un sacré indice ! C'est dommage mais au moins ça prouve que je suivais bien l'histoire ! Néanmoins la fin est assez peu crédible à mon goût, mais peut-être est-ce à cause du fait que j'avais deviné la fin...



Un livre agréable qui se lit assez vite, mais qui ne restera pas longtemps dans mes souvenirs...


Lien : http://lespetitslivresdelizo..
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Mon père, c'était toi ?

Il est question d'un héritage qui tombe du ciel, d'une colocation du troisième âge qui fonctionne harmonieusement, d'un vendeur de chaussures-transformiste qui retrouve son père et d'une virée en Normandie avec tout ce petit monde...



Mon résumé fait deux lignes, mon avis m'en fera pas plus. Et pour cause : j'ai lu ce livre en diagonale, je l'avoue, ne parvenant pas à trouver grand intérêt à cette histoire d'héritage.



Une histoire rocambolesque et gentillette, une écriture banale, des dialogues un peu creux. Voilà en résumé ma perception de ce roman.

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Mon père, c'était toi ?

Il est difficile de dire, en parlant d’un livre, qu’il ne vous a pas touché, et pourtant, c’est le cas ici. Peut-être que si j’avais lu le premier tome des aventures de ces six vieux colocs, j’aurai pris plaisir à les retrouver. Je ne crois pas cependant. Le héros est Gilles, qui découvre un héritage inespéré, la Normandie, le vélo, le calva et emmène tous ses colocataires avec lui.

Pour moi, ce livre est une naïve bluette normande, avec des personnages tout aussi naïfs, quelques passerelles entre la Normandie et ses vélos, Paris et ses vélibs, un cabaret transformiste à Montmartre, des costumes dans un grenier, des chambres emménagées comme autant d’hommage à des chanteurs populaires, et les “retrouvailles” avec un père qui a déclaré forfait depuis quarante ans, sans que personne ne souffre de ses curieuses retrouvailles. Même l’allusion à la déportation n’a pas provoqué d’émotion chez moi – et pourtant, ce sujet reste toujours sensible.

J’arrête donc là la rédaction de cette avis, ne voulant pas verser dans la méchanceté. Les personnages, eux, ne le sont pas, pourquoi le serais-je ?
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Mon père, c'était toi ?

Un livre-comédie dans l'air du temps : les personnages secondaires mais très fortement présents sont une bande de personnes âgées, toutes colocataires à Paris, dotées d'une énergie et d'une volonté de bouger et faire bouger les autres assez peu communes. Ils dynamisent le récit nettement. C'est un livre léger, amusant, souriant, primesautier. La première partie est vraiment agréable et très légère, puis l'histoire se tend un peu -juste un peu, le sourire et la sensation de bien-être perdurent- lorsque Gilles émet des doutes quant à la paternité de l'homme dont il hérite. Un petit suspense se fait alors jour, qui aura son explication en toutes dernières pages.

On est dans une période idyllique, "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" (Jean Yanne) : Paris est un rêve, la campagne un havre de bonheur, un rien kitsch, "comme au bon vieux temps". C'est coquet, joyeux, désuet. Vincent Pichon-Varin plonge la tête la première dans tous les clichés sur les Provinciaux (il met un accent au paysan normand "à y accrocher son pardessus" comme disait Coluche)

Le cafetier n'est pas mal non plus dans son genre qui s'exprime à la troisième personne "Qu'est-ce qu'il boit ?" (p.33) (ce que personnellement, je jugeais être l'apanage des garçons de cafés parisiens, comme quoi, chacun ses stéréotypes). La confrontation entre les Parisiens, artistes et les habitants du petit village donne lieu à des quiproquos, des blagues un peu éculées, au mieux prévisibles, mais qui étonnamment passent plutôt bien.

Voilà donc pour ce livre qui regorge de clichés, d'évidences et de facilités, mais qui dans le même temps vous fait passer un moment de lecture agréable, sans aucune arrière pensée : un livre qui ne prend pas le chou (normal, il ne se passe pas en Auvergne !) L'auteur sait faire passer les faiblesses de son bouquin au second plan : on les oublie (ou on les range dans un coin) au profit de l'histoire, et de la joyeuse aventure.

C'est bon comme une journée ensoleillée à la campagne entre amis, un pique-nique légèrement arrosé d'un rosé frais, une nappe à carreaux, des gens beaux qui jouent et rient et ne se prennent pas au sérieux. Bon comme un pub pour un fromage ou tout autre produit qui veut vanter ses mérites paysans, "de terroir".

Lu -et finalement approuvé- un après-midi d'un temps on ne peut plus pourri : idéal pour rester quand même de bonne humeur !
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Les colocs

Des petits vieux entre 60 et 85 ans en coloc', pourquoi pas ? C'est mieux qu'une maison de retraite. Chacun a son petit caractère, chacun a sa vie. Un jour, Jean, patron d'un cabaret à Montmartre détecte une arnaque sur son établissement. On dirait qu'un promoteur va s'en emparer. Avec l'aide des compétences de chacun de ses colocs, il s'embarque dans la lutte.

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