AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Vincent de Oliveira (II) (13)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
La grande baleine

Très agréable surprise que ce roman de Vincent de Oliveira. Lorsque je l'ai sélectionné pour l'opération masse critique de Babelio, je me suis dit "pourquoi pas?" Ce n'était pas mon premier choix et pourtant, il est bon ce livre. Très bon même.



Je l'ai lu en 3 jours malgré un emploi du temps plus que chargé. Il est prenant. L'ambiance est vraiment particulière. On plonge au coeur de l'histoire dont on emmerge difficilement.



Alors il se passe quoi?

En gros, on est sur Terre, 30 ans après un évènement inconnu mais terriblement dévastateur, "les neiges de juin". On ne sait pas ce qui en est la cause et c'est très bien. Pas de morale ideo-politico-écolo-culpabilisante. Guerre nucléaire ou astéroïde? On sait pas et on s'en moque.

Tout ce qu'on sait c'est que peu d'humains y ont survecu et presque aucun animal. Sauf peut être "la grande baleine".

L'histoire se passe entre la Pologne et l'Allemagne.

Anton, personnage principal, décide de quitter la grand camp de Varsovie (3000 personnes) afin d'entreprendre une expédition vers l'écosse dans l'espoir d'entendre la grande baleine dont la rumeur rapporte les cris audibles depuis la côte...



Le monde dépeint par Vincent de Oliveira est sombre, violent, cruel, macchiste et tellement réaliste. On est loin de la vision idéale de la solidarité entre survivants. Non, ici les hommes retrouvent leurs instincts bestiaux, les lois, les barrières morales volent en éclat dans cette lutte pour la survie.

Depuis 30 ans, les rayons du soleil n'ont pu percer les épais nuages toxiques. La "neige", qui est en fait de la cendre, recouvre tout jusqu'aux toits de maison. Le vent violent forme des congères piégeuses. La température atteint les -30° la nuit. Tout est hostile à l'homme qui survit difficilement en pillant les supermarchés enfouis sous la neige.

Dans cette ambiance où nul espoir n'est permis, certains hommes se lancent dans une quête impossible: entendre le cri d'un animal ou encore grimper au sommet du Mont Blanc pour tenter de revoir le soleil.

Commenter  J’apprécie          90
La grande baleine

Pas besoin de marque-page pour ce livre post-apocalyptique et pas du tout contemplatif car je l'ai lu d'une traite.

Le personnage principal, Anton, est en quête de ce qui pourrait encore donner du sens à la vie et la trahison de sa femme en est le catalyseur.

Son voyage le mènera de mauvaises rencontres en belle amitié, de violence en émotion pure. Croire à quelque chose, c'est tout ce qui importe.



Il y a quelques incohérences sur les fournitures encore disponibles dans ce monde en extinction mais l'on passe bien volontiers sur cette générosité pour suivre le parcours semé d'embuches de ces survivants.

Premier roman de l'auteur Vincent de Oliveira, j'espère en lire de nombreux autres.
Commenter  J’apprécie          70
La grande baleine

    J'ai lu ce livre l'hiver dernier, il tombait à point nommé : l'hiver était également tombé. Une citation célèbre dit bien : "Winter is coming". 



    Que seriez-vous prêt à faire pour survivre ? 

Je vous ai parlé il y a peu de "Mojado" de Dominique Falkner où la survie se jouait à notre époque. Ici, le monde a changé : il se couvre de neige, et le bleu du ciel n'est plus visible. Les derniers humains survivent, dans le froid, avec de nouvelles règles, de nouveaux chefs. Dans cet univers, nous suivons Anton qui est en direction d'un espoir : trouver la grande baleine. Ivan aimerait retrouver les montagnes des Alpes. Le Lion aimerait sauver le groupe dans lequel il évolue, mais aura besoin de retrouver l'argent. Le Chien lui avance, stagne, mais sait "qu'un homme doit faire ce qu'il a à faire". 



    Deux histoires se jouent en parallèle. Nous suivons un groupe, puis l'autre à mesure des chapitres. Le début du livre était un peu brouillon, le temps de s'habituer aux surnoms, à l'univers. La construction des personnages est intéressante, en cela qu'il y a peu de description de leur physique, on se les représente assez bien malgré tout grâce aux nombreux détails sur leur façon d'être, leur pensée. Se dessine alors les corps. 



    L'humanité des personnages est persistante, même si la vague de mort laisse croire le contraire. Il y a encore du bon en eux, et surtout ils sont tirés en avant par le sens de ce qu'est leur existence, la vie sur Terre, leur survie. J'aurais peut être aimé y trouver davantage de passages plus explicites, plus rudes, pour se plonger davantage sur le côté sombre de cette survie. Le cannibalisme est esquissé, la disparition des animaux, cette solitude, la façon dont ils ont réussi à faire leur réserve.  

    Il m'a manqué les enjeux de leur survie. Ils sont présents mais assez peu développé, mais peut être qu'il n'y a pas d'autre espérance que de vivre le moment présent, en espérant en vivre d'autres. 



    Je n'ai pas été happée par le suspens, mais plutôt par une curiosité parfois morbide, je l'avoue. C'est comme un accident de la route : on est effrayé, apeuré, surpris, mais aussi curieux, on ralentit, on scrute le travail des secours, et on reprend sa route. C'est sans doute uniquement psychologique, mais dans mes notes, j'avais noté la sensation de froid que je ressentais parfois durant ma lecture. Sans doute que cette immersion dans le monde glacé et l'aventure des personnages avaient agit sur la régulation de ma température. 



    J'ai vraiment aimé l'écriture de Vincent De Oliveira. Il arrive à décrire les émotions, les démons intérieurs qui bousculent les personnages, les silences. Ces derniers sont d'ailleurs bien plus éloquents. Il y a également cette façon de faire remonter l'animalité, la bestialité et les instincts primaire de l'homme : nous ne pouvons qu'imaginer ce que nous ferions si nous devions survire.



Qu'aurions nous été capables d'accepter ? 



En bref : 



 Dans un monde où la nature à repris ses droits, où le froid et la glace sont devenus les éléments principaux, suivre ces personnages dans leur quête de survie était palpitant. Un livre qui se délaisse difficilement !
Lien : https://lecturedaydora.blogs..
Commenter  J’apprécie          50
La grande baleine

Tout d’abord merci aux éditions Autrement pour cet envoi qui signe un partenariat très prometteur je l’espère !



Avec ce premier roman j’ai apprécié la violence qui en émane. Comme si toutes les horreurs du monde pouvaient être contenues dans ce récit et libérer lors de notre lecture. Mais la violence ne peut amener que de la violence et à la fin de ce texte, on en ressort mitigé car au final il n’y avait que cela ?!



Dans ce livre on va plonger dans un monde post apocalyptique où la nature s’est rebellée et à créée sur la terre un hiver glacial interminable. Les livres parlant de ce thème auront donc envahis cette rentrée littéraire. Loin de me déplaire, je trouve cela toujours intéressant d’aborder ce sujet inconnu et pourtant préoccupant. Cet auteur prend le parti de nous plonger dans un monde où l’homme est redevenu encore plus cruel pour survivre. Bien plus qu’à l’heure actuelle c’est : « tuer ou se faire tuer ! »



C’est étrange car dans le résumé de ce texte, on nous annonçait plutôt de l’espoir. Face à un résumé rempli d’espoir, on nous sert un texte où la cruauté et l’horreur des hommes n’a aucunes limites. Sans rédemption, chacun tue, torture et tente de sauver sa peau par tous les moyens. Il est vrai que l’on va parler une ou deux fois de « la grande baleine » ou de revoir le soleil, mais rien à voir en comparaison à ce que l’on nous annonçait … Je peux donc comprendre les personnes qui n’ont pas apprécié cette lecture tout simplement parce qu’elles en avaient attendu autre chose.



Soyons clair l’horreur ne me dérange pas et j’ai trouvé que ce jeune auteur nous présentait un texte d’une grande force dans cette brutalité. Mais autant l’assumer au lieu de tenter de le camoufler par un résumé falsifié. Si vous souhaitez un texte doux où l’espoir est au rendez vous, passez votre chemin. Ici vous allez pénétrer dans un monde noir où la mort et le viol font parti du quotidien.



L’homme n’est qu’un animal et livré à aucunes lois, il redevient sauvage. Cette idée est très intéressante car il éveille dans notre conscience une vraie interrogation. Que faire face à la solitude, face à notre propre barbarie. Ce texte est froid et nous montre une société livrée à elle-même. Seule et abandonnée les personnages tentent de survivre, se battre et surtout sauver leur peau ! Loin du texte attendu, j’en ressors tout de même mitigée car je trouve cela réducteur de ne limiter l’homme qu’à cela.
Lien : https://charlitdeslivres.wor..
Commenter  J’apprécie          50
La grande baleine

Une histoire intense et riche, où l'humanité est mise en scène dans un monte torturé par le froid où la vie se fait rare. Dans ce monde de désolation, Anton et Ivan ont un rêve à accomplir et ils le réaliseront coûte que coûte, quelque soit les obstacles qui se mettront en travers de leur chemin.

Ce livre c'est l'histoire de deux hommes et d'une race en souffrance. L'auteur met en avant le meilleur et le pire de l'homme dans ce livre, à travers de beaux personnages et leur combat pour survivre. L'ensemble est explosif !
Lien : http://leblogdepoppy.com/201..
Commenter  J’apprécie          50
La grande baleine

C'est un premier roman, et c'est une très bonne surprise !



Moi qui aime tout ce qui est dans le genre post-apocalyptique, dans le genre de La route de McCarthy, je ne pouvais pas passer à côté de celui-ci.



Les neiges de juin ont tout recouvert, tout détruit. Les animaux ont disparu, les plantes aussi, et le peu d'hommes restant, peinent à survivre.

La violence a remplacé les lois, et déjà que le temps est pourri, il ne fait carrément pas du tout bon vivre par ici, encore pire si vous êtes une femme.



On va suivre deux hommes qui vont être amené à faire un bout de route avec d'autres, chacun avec une quête, un but pour survivre. Ce ne sont pas des enfants de chœurs, en même temps, pour ne pas finir dans une casserole, ou pire, dans ce nouveau monde blanc et froid, il faut avoir fait des choses pour survivre, avoir été prêt surtout à les faire. Mais malgré cela, ils sont attachants, et très vite, on s'intéresse à leur histoire, comment ils sont arrivés là, et plus que tout, vont-ils survivre ? Et que vont-ils devoir faire pour ça ?

Car c'est là tout ce qui importe, de quoi ce récit parle : jusqu'où sommes-nous prêts à aller pour survivre ? Quand on sait que l'avenir est plus qu'incertain, cela vaut-il le coup de se battre, de bafouer notre humanité pour quelques jours de plus ?



Car on le comprend aussi très vite, rien ne va nous être épargné. Torture, agonie, crime, injustice... tout est là, et on ne peut plus s'arrêter de lire. Le suspens est omniprésent, comme le danger, la fuite, la survie...

Le style de l'auteur contribue, comme cette neige froide et dévastatrice, à installer un climat particulier, froid et intense.



Je n'aurais qu'un regret, la fin, et cette promesse de quête de la légende de la grande baleine que j'aurais vraiment voulu vivre avec Anton, tout comme j'aurais vraiment voulu escalader les Alpes avec Ivan pour enfin savoir si le soleil est toujours là.



J'ai tourné la dernière page avec émotion, et un petit pincement au coeur pour ces deux-là.



En bref, une très bonne lecture, un récit de survie dans un monde ravagé par le froid, une quête d'un ailleurs meilleur, une plongée dans l'âme humaine et de ce qu'elle peut parfois avoir de plus sombre.
Lien : http://www.inmybookworld.com..
Commenter  J’apprécie          40
La grande baleine

Livre reçu lors du challenge Mass Critique d'octobre 2016.



Je tiens à remercier les éditions "Autrement" pour ce beau livre, une première de couverture très attrayante et adéquate avec le contenu du livre, une quatrième de couverture alléchante... et un scénario bien présenté.



A la lecture du résumé, on a envie de lire ce livre, du moins, si comme moi, on est un peu sensible au futur sort de la terre, des animaux et de l'humanité.



Vincent de Oliveira nous raconte les rêves d'Anton et Yvan ainsi que leur combat pour les réaliser dans une Europe où règnent en maîtres le froid, les poussières toxiques et les tyrans en tous genres. Après un ultime dérèglement climatique ou éruption volcanique (la raison n'apparaît pas vraiment, seul subsiste le nom du phénomène : les neiges de Juin), le monde semble plongé dans la nuit, des températures extrêmes et seuls demeurent quelques survivants qui ont élu domicile dans les anciennes villes comme Varsovie ou Leipzig. Parmi les hommes la violence devient légion, il faut vivre à tout prix ! Les femmes ont un sort bien pire et on connait peu celui des enfants, les animaux n'ont pas survécu.



C'est dans ce contexte apocalyptique qu'Anton quitte Varsovie à la recherche d'une légende, une grande baleine... Yvan, lui, veut revoir le ciel en gravissant les Alpes...



Jusque là tous les ingrédients d'une bonne histoire sont réunis, mais, avec moi, la mayonnaise ne prend pas. J'imagine que ce livre pourra trouver lecteurs notamment chez les plus jeunes.



Qu'est-ce-qui me déplait ?



Trop de violence et de batailles, ou plutôt de rixes, sans véritables raisons. On torture, tue, ment et trompe à tout va et le fil conducteur de l'histoire se perd dans ces méandres tortueux.



Le style très factuel ne me convient pas vraiment non plus, car, à la lecture de la quatrième de couverture, j'attendais autre chose, peut-être plus de poésie et d'écologie. Je cherchais surement un livre un brin "moral". Je pense d'ailleurs que cet aspect peut devenir un août pour d'autres lecteurs ! En effet, malgré la catastrophe, l'espèce humaine semble réduite à ses plus bas instincts comme l'argent, le pouvoir, l’asservissement des femmes... Pas très glorieux.



Pour finir, certains points me paraissent incohérents. Les survivants roulent en voiture alors que les villes sont enfouies sous une épaisse couche de neige toxique. On se demande où les conducteurs trouvent l'essence et qui déneige les routes !



En gros, ce livre a tout pour plaire et c'est un bel objet, mais je n'accroche pas. Trop rêveuse sans doute. Et puis, franchement, un avenir où l'humanité survivrait à toutes les autres espèces avec ses machines et ses défauts les plus bas, c'est carrément le pire des scénarios à mon goût.
Commenter  J’apprécie          45
La grande baleine

Ah ! La Grande Baleine ! Qui es-tu La Grande Baleine ? Vincent De Oliveira traite du sujet de la " pré-apocalypse ", avec tout ce froid, ces batailles, etc., avec une grande justesse. L'écriture est simple (mais j'apprécie cela). Le tout me paraît vivant avec des dialogues percutants et un traitement de l'impact de l'Homme sur la planète qui m'a intéressé.

Peut-être que certains lecteurs regretteront l'arrivée tardive de La Grande Baleine, mais j'y ai trouvé cet espoir nécessaire dans ce livre. On sait peu de choses, mais c'est suffisant.

Bref, je recommande cette lecture parce qu'elle est enivrante.
Commenter  J’apprécie          20
La grande baleine

Un récit qui m'a littéralement happée ; j'ai dévoré ce livre plein de suspens. L'histoire, haletante, est menée d'une telle manière qu'il est difficile de s'arrêter à la fin des chapitres.

J'ai également apprécié le style, fluide et recherché.

Ce roman appelle selon moi une suite... que j'espère que l'auteur écrira! ;)
Commenter  J’apprécie          20
La grande baleine

Livre reçu lors de la masse critique de Septembre. Le titre est plutôt prometteur: trouver la grande baleine, un rêve d'un homme avant la fin du monde.



Heu que dire?? Du début à la fin je n'ai rien compris à l'intérêt de ce roman! L'écriture reste simple et fluide mais l'intrigue n'a aucun sens pour moi. L'apocalypse est nommée mais cela n'a rien de vraiment tissé sur les raisons, hormis la neige qui envahit la planète. Tout le monde se fait la guerre mais finalement les ennemis se lient face à la fuite, voire même couchent ensemble... Trahisons, amitiés, secrets... recette de ce roman qui n'a pas pris!

A plusieurs reprises j'ai voulu arrêter ce roman mais bon les 3/4 du livre étaient passés donc cela aurait été bête de s'arrêter là.



Ce n'est pas un livre qui marquera mon esprit...
Commenter  J’apprécie          10
La grande baleine

roman sortant de l'ordinaire, avec un scénario original et innovant !

écriture très fluide, parsemée de réflexions philosophiques, d'une réalité impressionnante !

il faut avoir ce livre dans sa bibliothèque ! et l'avoir lu, bien sûr !!
Commenter  J’apprécie          11
La grande baleine

J'ai été attirée par la quatrième de couverture qui m'a fait penser à une dystopie ; ça n'en est pas vraiment une, c'est plutôt un livre d'anticipation.



L'histoire se déroule en Europe, sur plusieurs pays. Les conditions climatiques extrêmes, "Les neiges de juin", ont dévasté la Terre qui se retrouve entièrement détruite, et surtout, il reste peu de survivants.



Anton, personnage principal, décide de quitter Varsovie pour se diriger vers "La grande baleine". Il rencontrera, pendant son expédition, d'autres survivants avec qui il va devoir se battre pour survivre... Ivan, le deuxième personnage aura un rêve lui aussi... L'alternance entre les deux personnages principaux permet de donner du rythme au livre mais j'ai tout de même trouvé le récit plat et lent.



L'ambiance est sombre, la violence est omniprésente, mais tout semble réaliste. C'est une véritable lutte pour la survie! Et pourtant, l'espoir n'est pas permis, seuls les rêves peuvent encore permettre aux survivants de se battre pour continuer : entendre une dernière fois le cri de ce grand animal ou bien encore voir le ciel bleu du haut de la montagne. L'espoir n'existe plus, seule compte la survie.



Ce dont j'avais le plus peur, c'est que ce livre soit trop moralisateur quant au fait que nous ne prenions pas soin de notre planète, mais pas du tout, la lutte écologique n'est qu'un vague sentiment auquel nous pensons à la lecture... Nous retrouvons plutôt les signes réels de ce que l'homme peut devenir lorsqu'il est en danger : la violence, le mensonge, la méchanceté, la lutte...



Un roman post-apocalyptique plutôt bien construit mais un peu trop long à mon goût et une fin moins bien que ce que j'attendais.
Lien : http://leslecturesdemaryline..
Commenter  J’apprécie          00
La grande baleine

Livre très facile à lire, à l'histoire simple et à l'écriture très fluide, on se laisse emporter par ce récit aux nombreux rebondissements. On est réellement tenu en haleine tout au long du livre, on a envie de connaitre le mystère autour de la grande baleine. Tout les ingrédients sont là pour en faire un bon livre qu'on a envie de partager une fois fini, de l'action, de l'amour, du suspense, de la tension, des personnages aux personnalités multiples qui dynamisent ce récit. Bref une bonne surprise et un très bon début pour un premier livre. Si vous aimez les histoires sur fond de monde post-apocalyptique alors foncez l'achetez, et même si ce n'est pas le cas, l'occasion de découvrir une nouvelle oeuvre. Je recommande.
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Auteurs proches de Vincent de Oliveira (II)
Lecteurs de Vincent de Oliveira (II) (24)Voir plus

Quiz Voir plus

Le Cid (Corneille)

Que signifie "Le Cid" en arabe ?

le seigneur
le voleur
le meurtrier

10 questions
816 lecteurs ont répondu
Thèmes : théâtreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}