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3.79/5 (sur 320 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Long Beach
Biographie :

Sean Platt est auteur, entrepreneur, éditeur, storyteller.

Sean Platt est son ami David Wright sont membres du collectif Inkwell, un groupe d'auteurs américains auto-publiés qui dynamitent les genres et réinventent la littérature.

Ces deux fans de séries télé, de SF et de paranormal ont décidé d'appliquer au livre les codes de leurs TV shows favoris (serialized fiction).

Ainsi est né Yesterday's Gone, la série livresque la plus addictive jamais écrite.

Sean Platt, Johnny B. Truant et David Wright sont fondateurs de Sterling & Stone, un story studio.

Sean vit à Austin, Texas.

son site: https://sterlingandstone.net/
Twitter: https://twitter.com/seanplatt?lang=fr
page Facebook: https://www.facebook.com/seanplatt
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Sean Platt explains his number one trick for writing articles extremely fast


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Combien de temps avant que tous les survivants ne se muent en bêtes sauvages de la pire espèce ? Après tout, ce qui distinguait l’être humain de l’animal, c’était la civilisation, et rien d’autre ; une fois celle-ci éradiquée, les rescapés ne seraient bientôt plus que des ours parlants, comme dans les dessins animés pour enfants.
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La seule chose qu'il avait retenue - s'il ne s'était pas trompé sur l'intention du savant en question -, c'était qu'il n'y avait ni passé ni présent ni avenir, que tout cela coexistait en un même point.
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C’est pas les agneaux qui raflent la mise. La terre, elle appartient aux loups.
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Samedi 15 octobre 2011, le matin
New York
Le jour où tout changea, la préoccupation majeure de Brent Foster était de se prendre une heure pour lui tout seul. Et encore, il se serait contenté d’un quart d’heure.
Dès qu’il ouvrit un œil, il sentit la migraine lui marteler douloureusement le crâne, comme s’il avait fait la fête toute la nuit – alors qu’il avait juste travaillé tard au journal. Heureusement, c’était son jour de congé. Il regarda son réveil, mais l’écran était noir. Le ventilateur qui lui servait à masquer le bruit des voisins et de la circulation était éteint aussi. Le courant avait dû sauter.
Super.
À en juger par le soleil matinal qui filtrait entre les rideaux, il devait être à peu près neuf heures. Et comme il n’entendait pas son fils de 3 ans, pourtant très turbulent, il supposa que Gina avait dû l’emmener faire un tour, ou jouer avec d’autres enfants au parc.
Il sourit. Il adorait avoir l’appartement pour lui seul. Les moments de solitude étaient devenus si rares… Journaliste, il travaillait constamment dans l’urgence, toujours à courir de-ci, de-là, surtout depuis les licenciements ; et à la maison, quand le petit était bien réveillé, c’est-à-dire la plupart du temps, il réclamait son père.
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L’intuition qui lui soufflait qu’il y avait chez ce garçon quelque chose d’horriblement anormal. Et pas seulement le fait qu’il ait brusquement vieilli de cinq ans. Ça, c’était déjà plus bizarre que n’importe quelle invention romanesque de Dean Koontz.
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La 7e ressemblait moins à une avenue qu’à un interminable couloir au plafond bas, oppressant – le brouillard était à six ou sept mètres à peine au-dessus de leur tête. Un dédale s’étendant à perte de vue, avec, en guise d’obstacles, des centaines de voitures abandonnées. La visibilité au sol était également réduite à quelques mètres dans toutes les directions, ce qui leur laissait peu de temps pour réagir en cas d’attaque.
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Je savais depuis des années que ce moment allait arriver, je te dis. Je savais qu’il faudrait que je lâche prise. Ça ne m’a pas rendu la tâche plus facile, et je donnerais n’importe quoi pour retrouver ma vie d’avant, mais ce n’est pas pour autant que je me raccroche à des espoirs absurdes.
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Une fois dehors, il ne cria pas. Il en était incapable. L'horreur était telle qu'il en était réduit à contempler fixement le spectacle qui s'offrait à ses yeux.
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15 octobre 2011 en début de soirée
Jacksonville, Floride
Deux heures s’étaient écoulées, mais la fille était toujours inconsciente. Ils l’avaient déposée sur le lit de Charlie. Celui-ci commençait à se demander si elle n’était pas dans le coma. Et si elle mourait ? Dès leur retour chez eux, il avait lui avait enlevé son sweat-shirt à capuche. Dessous, elle portait un tee-shirt gris foncé. Il en coupa une manche et s’en servit pour panser sa blessure. C’était davantage un hématome qu’une plaie, heureusement : il ne se serait pas senti capable de la recoudre. Il ne comprenait pas pourquoi la fille était toujours dans les pommes, mais n’était pas pressé qu’elle se réveille, car à ce moment-là il faudrait faire face à sa réaction quand elle se rendrait compte qu’elle était prisonnière, et ça pouvait mal tourner.
Il ne cessait de repenser au moment où ils avaient tous les deux roulé à terre sur le parking du supermarché, et où il s’était rendu compte qu’il pourchassait une fille, et non un braqueur de voitures. Il avait lu dans son regard qu’elle n’était pas une menace ; mais qu’est-ce qu’elle faisait dans ce magasin ? Puisque les portes étaient verrouillées quand Bob et lui étaient arrivés, elle avait dû entrer derrière eux ; mais pourquoi ? Si l’idée était au départ de leur piquer leur camion, elle n’y était pas obligée. D’ailleurs, elle aurait pu prendre n’importe quel autre véhicule ; ce n’était pas ce qui manquait. Mais peut-être s’y était-elle introduite par une porte latérale ou une entrée de service. Il repensa à s
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16 octobre, tôt le matin.
Bell Springs, Missouri.

Paola se réveilla en sursaut, comme si elle venait de rêver qu’elle tombait. Sauf que ce qui la tirait aussi brusquement du sommeil, ce n’était pas la pesanteur mais une voix qui lui chuchotait son nom à l’oreille. Elle s’attendait donc à trouver quelqu’un debout à son chevet. Pourtant, il n’y avait personne. La voix avait dû être un écho de son rêve. Elle tendit l’oreille au cas où. Mais elle n’entendit que le léger ronflement de sa mère, qui dormait la bouche ouverte ; ce petit bruit doux comme une respiration de bébé, elle le connaissait si bien qu’il la berçait plus qu’il ne l’irritait. Elle distinguait mal ce qui l’entourait ; c’était à peine si sa mère était visible dans l’ombre qui régnait dans la pièce tel un nuage noir. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises et tenta de savoir de quel côté du rêve elle se trouvait. Je dois être encore en train de rêver, le vrai monde n’est pas si glauque. Elle reposa sa tête sur l’oreiller et ferma les yeux. 99… 98… 97… 96… 95… D’habitude, elle ne dépassait guère 65 avant de sombrer. 94… 93…92…91…90…
— Paola !
Cette fois, la voix était plus claire. La petite fille n’eut plus aucun doute sur sa réalité. Elle s’assit toute droite sur son lit improvisé. C’était la voix de son père, et elle venait du fond du hall d’accueil, toujours plongé dans la pénombre.
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