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Citations de Violette Banks (54)


— Je t’en fabriquerai un. On piquera une cravate verte à mon père et je te coudrai au moins une cape noire. Ça a pas l’air super dur. Une fois, j’ai essayé de coudre une peluche d’ours pour ma p’tite cousine. Bon, tout le monde a cru que c’était E.T. l’extraterrestre parce que j’avais un peu raté les proportions. Et parce que j’avais pris le tissu que j’avais sous la main – qui était un vieux pull un peu délavé –, mais quoi qu’il en soit, ouais, je peux totalement te faire un costume.

Un silence circonspect suivit sa déclaration jusqu’à ce que Lukas tourne la tête vers Dominic pour promettre :

— Je la laisserai pas faire ton costume, t’inquiète pas. On se débrouillera.

Pendant que Claire protestait, faussement vexée par le manque de confiance qu’on plaçait en ses capacités de couturière débutante, Sam leva la main. Le colosse roula des yeux et l’obligea à la baisser.

— T’es pas en cours, Sam. Tu peux parler quand tu veux. C’est vrai que c’est dur d’en placer une avec cette bouche sur pattes, mais j’ai l’oreille sélective depuis le temps que je la fréquente alors je t’entendrais quand même.

Il se prit un coup de pied bien mérité dans le tibia.
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— Claire Darber. Présidente du fanclub et nutritionniste de Monsieur Bellwether.

Patrick contempla cet étrange énergumène avec un sourire amusé et accepta sa poignée de main. Quand ses yeux tombèrent sur la barre chocolatée à moitié mangée qu’elle tenait dans l’autre, il haussa les sourcils.

— Nutritionniste, hein.

— Nutritionniste pour le moral. Donc essentiellement à base de chocolat. Vous savez, pour être heureux. Sérotonine et tout.

— Je vois.

Le coach secoua la tête et se tourna vers Dominic.

— Cinquante pompes et c’est fini pour aujourd’hui. À la semaine prochaine, kiddo.

Le colosse s’exécuta immédiatement pendant que l’homme repartait pour aller contrôler les exercices d’un autre élève. Claire compta à voix haute et applaudit quand il eut terminé, malgré le regard noir qu’il lui lança. Comme elle avait ramassé ses affaires et qu’elle l’accompagnait jusqu’à la porte des vestiaires, elle reprit leur conversation :

— On la fait chez qui alors ?

— Chez qui quoi ?

— La pyjama party.

— À quel moment tu m’as entendu accepter ? soupira le Bellwether en roulant ses yeux noisette.

— Toi et moi, on sait très bien que j’aurais eu le dernier mot dans une joute verbale alors je me suis dit qu’on pouvait passer directement au moment où on fixe les détails.
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- J'ai un petit ami, avança Liam comme un bouclier qu'il espérait efficace.

Espoir vain. Damian haussa un de ses sourcils blonds et rétorqua :

- J'ai une cafetière. Cela ne m'empêche pas de m'arrêter au Starbucks de temps à autre.
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— J’ai un message pour toi de la part de Dominic Bellwether.
Le Cavendish ouvrit les yeux et ne put s’empêcher de tourner la tête. Au centre de la pièce se trouvait un jeune homme en costume très élégant, aux cheveux noirs bouclés et à l’air intimidé. Il était appuyé sur une béquille. Lukas Bishop. Ce dernier poursuivit :
— Il veut que je te dise : « T’as pas intérêt à l’abandonner encore une fois. »
James en eut le souffle coupé.
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Faisant l’impasse sur la cravate, il attrapait des chaussettes, quand l’écran de son téléphone se ralluma. Il avait reçu un message d’un numéro masqué, qui lui parlait d’un vol réservé dans un aérodrome et d’une voiture de location à l’arrivée. Eve. Damian ne comprenait pas pourquoi l’opératrice qui aidait Ash pour ses missions était intéressée par leur affaire. D’ordinaire, cette mystérieuse personne ne communiquait qu’avec l’agent de MI-5. Qu’avait-elle à voir avec les Bellwether ? S’était-elle entichée d’eux ?
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Exister, c’est facile. Ça ne demande aucun effort. Il suffit de respirer. De mettre un costume, d’aller travailler. Tout le monde peut exister.
Il reposa leurs doigts noués sur le couvre-lit et laissa aller son front contre la main de Liam.
— Vivre, en revanche, est beaucoup plus compliqué. Il faut le vouloir. Il faut de la motivation. Tu es ma motivation, Liam. Si tu pouvais voir dans mon cœur toute la place que tu prends. Tu es partout. Dans chaque pensée. Alors, ne m’abandonne pas. Je ne supporterai pas de me retrouver vide à nouveau.
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— Jayden, tu te rends compte que tu es extraordinairement intelligent ? demanda-t-il, moins pour changer de sujet que parce qu’il voulait honnêtement parler de cela avec lui depuis un bon moment.
— Oui, répondit son petit frère sans ciller, avec toute l’humilité du monde.
— Beaucoup plus que moi.
Jayden marqua une hésitation.
— Je ne suis pas sûr. Je comprends les choses quand je les étudie, c’est tout. Toi, tu as en plus de l’intuition. À l’école, les autres disent que je suis un robot. Je ne suis pas un robot, j’éprouve de la compassion. Je ne la montre pas si elle n’a aucune utilité, c’est tout.
Mallory ne put se retenir de serrer son petit frère dans ses bras. Ce dernier se laissa faire, posant simplement une main dans le dos du rouquin qui soufflait :
— Bon sang, j’aurais dû rester à Cardiff. Je ne t’ai pas vu grandir. Tu es devenu un jeune homme fascinant, mon petit Jayjay. On va rattraper le temps perdu, tu vas voir.
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— Prends-moi, Damian.
Il n’eut pas à se répéter. Le conducteur détacha sa ceinture et il ouvrit brusquement sa portière. Il enroula un bras autour de la taille de Liam et il les fit sortir tous les deux de l’habitacle, puis il porta son partenaire jusqu’à l’avant de la voiture où il l’allongea sur le capot sans cérémonie. Leurs doigts se battirent pour défaire en vitesse les boutons et descendre les fermetures Éclair de leurs pantalons. Liam fit comprendre à son partenaire qu’il le voulait tout de suite, sans préparation, alors il fit de son mieux pour le satisfaire sans lui faire mal. Quand il introduisit enfin entièrement son sexe dans l’intimité de celui qui était à présent son époux, il grogna de plaisir, puis susurra contre son oreille :
— Comme tu m’as manqué…
Liam posa sa cheville gauche sur les fesses de son amoureux et le tira à lui pour l’inviter à bouger en soufflant :
— Montre-moi.
Damian lui asséna un coup de reins très sec qui le fit gémir, mais il lâcha avec tendresse :
— Oh, mon bel ange…
Les deux amants firent l’amour avec hardiesse, sans se soucier d’autre chose que de leurs deux corps qui s’épousaient à merveille. Heureusement pour la décence, il n’y avait personne sur cette route de campagne à cette heure avancée de la nuit. Ou reculée du matin, selon le point de vue. La perspective d’être découverts, toutefois, les fit frémir d’un plaisir accru.
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Dominic arracha brusquement sa bouche de la sienne et il le regarda, les yeux grands ouverts, dans une expression qui rassemblait choc et émerveillement.
— Quoi ? finit par demander Lukas, les joues rosies par l’embarras.
Le colosse commença à desserrer son étreinte, avant de se raviser.
— C’est bizarre…
— Qu’est-ce qui est bizarre ?
— Bin, ça me plaît.
La franchise de son petit ami ne l’avait encore jamais autant déstabilisé. Et comme si son visage n’était pas déjà assez cramoisi, Dominic prit lentement une de ses mains pour la porter vers son visage. Il commença par déposer un baiser sur son index, puis il le mordit doucement, avant de le faire glisser dans sa bouche, contre sa langue râpeuse.
— Oh mon Dieu, souffla le pianiste aux jambes flageolantes.
Son fantasme devenait réalité.
— Ça veut dire que tu veux bien qu’on essaye de faire des… des trucs ? demanda-t-il timidement, alors qu’il sentait déjà distinctement une érection juvénile se bâtir dans son boxer.
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— Je voudrais être réengagé. S’il vous plaît, monsieur.
Damian eut un mouvement de recul comme si on venait de le gifler – et il le méritait si souvent – puis il se pinça l’arête du nez.
— Pas de monsieur. Appelle-moi Damian. Qui t’a viré ?
Liam plissa les yeux. Ce type plaisantait ou quoi ?!
— Bin... C’est vous. Frankie a dit que vous aviez viré tous les employés de la supérette et que vous lui aviez demandé de faire un nouveau recrutement.
L’avocat eut l’air de chercher à se souvenir de ce moment, sans succès. Il avoua néanmoins :
— C’est possible. Il faut dire aussi qu’il m’avait caché la présence d’un ange dans son équipe. Tu es réengagé.
Le Gallois ne s’était pas attendu à ce que ce soit aussi facile.
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Liam porta une main incertaine sur la veste de costume de Damian et en agrippa doucement un pan.
Damian le regarda faire avant de céder à la tentation de l’enlacer. Il mit beaucoup de précautions dans son geste, comme s’il avait peur de le briser. Le Danois n’avait jamais été très tactile. Même durant son enfance, il grimaçait quand sa mère voulait l’étreindre ou que ses sœurs voulaient l’attirer dans un de leurs câlins groupés. Ce n’était pas la même chose de tenir Liam contre lui. Il en avait envie. Il en retirait un certain plaisir, même si celui-ci n’était pas sexuel. S’en apercevoir l’intimidait un peu. Il ne croyait pas, à son âge, pouvoir encore découvrir des choses sur lui-même. Il pensait se connaître. Et peut-être qu’il avait raison en vérité. Peut-être était-ce juste Liam qui avait le pouvoir de le changer.
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Même un grand baratineur comme lui devait réfléchir à la formulation qu’il voulait employer à l’heure de révéler à son meilleur ami ce qu’il avait sur le cœur.
— L’amour, c’est censé être quelque chose de joli. De noble. Ce que je ressens pour lui, c’est tout le contraire. J’ai envie de lui faire des choses qui te feraient regretter d’avoir posé cette question si je te les disais. J’ai envie qu’il soit à moi et que tout le monde le sache. J’ai envie de le voir en permanence. Quand il n’est pas là, je pense à lui. Je me demande s’il va bien. S’il est en sécurité. S’il se sent seul. S’il a envie de moi. Je voudrais qu’il ait envie de moi. Chaque seconde un peu plus. Tu vois, ce n’est pas de l’amour. C’est juste un genre de possession malsaine dont je devrais avoir honte, mais que je ne peux me résoudre à abandonner.
Ash avait écouté patiemment et il laissa un peu de temps à son ami pour se reprendre avant de déclarer :
— Si tu crois que, ça, ce n’est pas de l’amour, alors ça veut seulement dire que tu n’avais jamais été amoureux.
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Dominic laissa très lentement reposer son dos contre le matelas et fixa le plafond. Il osait à peine respirer. Son cœur battait si fort. Il avait l’impression qu’il menaçait à tout moment de fracturer sa poitrine pour s’envoler. Comment pouvait-il ne pas réveiller le dormeur contre lui ? Ce ne fut que lorsqu’il sentit que Lukas s’était mis à sangloter qu’il glissa de nouveau une main dans ses cheveux pour les caresser. Le chagrin de Lukas lui était insupportable. Heureusement, son soutien paya bientôt. Il sentit le pianiste passer un bras en travers de son buste nu pour mieux s’accrocher à lui et il cessa de pleurer.
« Fais comme si c’était Jayden », se disait Dominic pour combattre le réflexe qui voulait qu’il repousse ce corps contre le sien. À l’endroit où Lukas avait posé sa main, sa peau était en feu. Ne pas y penser. Surtout ne pas y penser. Il avait déjà dormi avec un de ses frères dans ses bras. Si Lukas était son ami, c’était un peu comme un frère finalement. C’était la théorie qu’il adopta pour se rassurer. Ça ne voulait rien dire. C’était juste parce qu’il faisait un cauchemar. Il le lâcherait avant qu’il se réveille de toute façon. Personne ne le saurait. Persuadé qu’il faisait le bon choix, Dominic s’endormit, agréablement bercé par la chaleur de ce corps qui ne tremblait plus contre le sien.
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Un sourire redessina la bouche de Damian et il termina sa pénétration d’un puissant coup de reins. Liam gémit de nouveau, mais sourit également. La scène s’anima ensuite rapidement. Les assauts du Danois furent de plus en plus secs et profonds, obligeant son partenaire à se tenir à la tête de lit. Il ne savait plus s’il gémissait ou s’il criait, mais à chaque fois que le sexe de Damian frottait contre une zone bien précise à l’intérieur de lui, son corps recevait une décharge d’électricité tout à fait bienvenue. À intervalles irréguliers, l’avocat ne pouvait pas s’empêcher de glisser quelques mots aguicheurs pour faire monter la pression :
— Qu’est-ce qu’il penserait, le bon Thomas, en te voyant comme ça ? Entièrement nu. Attaché dans le lit d’un autre homme, à peine quelques heures après votre rupture. Moite de sueur et suppliant. Les jambes écartées pour moi.
Liam jouit une seconde fois, sans même pouvoir toucher son membre gonflé. Sans cesser de le pénétrer, Damian se pencha sur lui pour mordre la chair tendre de son cou, laissant une marque qui serait certainement visible le lendemain. Et il jouit à son tour en agrippant les fesses du jeune homme, enfoncé en lui.
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La demoiselle n’eut de cesse de répéter à quel point Lukas était adorable avec ses boucles noires et son regard de chiot perdu. Le colosse avait roulé des yeux tellement de fois qu’ils lui faisaient presque mal en fin de journée. Ce n’était pas son regard qui l’avait marqué, mais plutôt les doigts longs et fins de leur camarade. Ainsi que la grâce avec laquelle ils se mouvaient pour toute chose, que ce soit pour sortir un crayon de sa trousse ou pour manger une pomme.
À la fin de la journée, Claire l’avait contaminé et Dominic se demandait lui aussi pourquoi leur camarade n’était pas revenu en cours.
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Il n’avait même pas besoin de lire le commentaire du professeur pour savoir qu’il était encore passé à côté du sujet. Par acquit de conscience, il jeta tout de même un œil à ce que le prof avait à dire et il se figea en déchiffrant les mots « redoublement assuré » au bout d’une phrase. Non. C’était impossible. Il n’avait pas le temps de redoubler. Il avait déjà tout prévu. Il allait avoir dix-huit ans cette année, passer son diplôme et se trouver un job pour faire une troisième paie à la famille Bellwether. Là, ses frères pourraient un peu mieux respirer. Ils ne seraient plus en galère pour les factures et ils pourraient arrêter de faire les fonds de tiroirs à chaque fois qu’ils devaient aller faire les courses. Le redoublement n’était donc pas une option. Il ne pouvait pas encore attendre un an supplémentaire. Jamais de la vie. Il n’avait donc pas le choix…
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L’Écossais eut tout à fait conscience de tomber amoureux à cet instant précis. Des papillons se déchaînaient dans son estomac. Il avait envie que Dominic lui fasse des choses que la morale réprouverait. Toutefois, ce n’était pas seulement du désir. Le corps du colosse avait commencé à l’intéresser après sa personnalité d’ours grognon, mais protecteur. Un cœur si grand dans une poitrine si large. C’était un mélange explosif.
Bon. Trêve d’envolées romantiques.
Comment allait-il faire pour se tirer de là sans le réveiller ? Il n’avait pas trente-six solutions. Soit il faisait mine de se rendormir et laissait Dominic se détacher de lui quand il serait réveillé – en espérant qu’il ne l’éjecte pas du lit avec une expression dégoûtée –, soit il parvenait à s’extirper de ses bras sans que le Bellwether ouvre l’œil. Ce dernier n’aurait alors jamais à savoir ce qui s’était passé. Quelle était l’option la plus judicieuse ?
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Callum eut un bref éclat de rire, mais son visage redevint dur :
— Et la tapette ? demanda-t-il, ses yeux bleus fichés droit dans ceux de Dominic.
L’adolescent fronça les sourcils, ennuyé. Il regarda à droite, puis à gauche pour s’assurer que personne ne s’intéressait à eux, puis il souffla :
— J’aime pas que tu parles de Mabel comme ça. C’est notre frère.
— C’est une tapette, un point c’est tout. Il ira en enfer.
La gorge de Dominic se serra. Il avait envie d’attraper Callum par le col pour lui hurler de ne pas lui sortir ces conneries religieuses alors qu’il était en taule pour trafic d’armes. Parce que même s’il n’avait pas appuyé lui-même sur la gâchette – comme son frère aimait à le répéter –, il avait aidé des gens à tuer d’autres gens et que, pour ça, lui aussi il irait en enfer.
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Ce n’était pas son lit. Ils n’étaient pas dans le cocon de son appartement londonien où toute prétention était inutile. James savait bien que c’était une excuse ridicule, mais son esprit essayait de légitimer une envie qui était en train de le prendre aux tripes. Celle de glisser une main sur la joue de son partenaire et de presser ses lèvres contre les siennes.

— Mal ?

— Quoi ?

— J’ai envie de t’embrasser.

Le cœur du Gallois bondit dans sa poitrine et il avoua :

— J’ai envie que tu m’embrasses.

Mallory avait fini de se mentir à lui-même. Il était lucide sur ses propres sentiments. Il avait bien remarqué qu’il tombait de plus en plus sous le charme de l’Anglais.
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— Tu crois que ça peut marcher ? Ils vont sentir l’arnaque. Si j’étais toi, je trouverais un truc tellement gros qu’ils ne soupçonneront même pas que tu te moques d’eux.

  — Du genre ?

  — Sors avec un mec. Tu choisis un mec et tu leur fais comprendre que ton comportement rebelle tenait du fait que tu avais peur d’être toi-même, mais que maintenant qu’ils t’ont motivé à être qui tu es réellement, tu es prêt à devenir un être humain distingué, etc. Ça va vraiment les faire flipper ça.

James pouffa.

— OK, lady Maryann. Tu dois être aussi frappée que nos parents, parce que ton idée est vraiment insensée.

  — Peut-être, mais elle fonctionnerait. Tu le sais aussi bien que moi.

  — Hum. Je vais y réfléchir.
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