Rien ne peut désormais le troubler, le toucher ;
Soustrait de notre monde, à l'abri de ses tares,
De sa lente souillure, il ne souffrira pas
De voir son coeur vieillir et sa tête blanchir.
Percy Bysshe Shelley, Adonaïs, élégie à la mémoire de John Keats