De même, les portes et les fenêtres étant ouvertes à la chaleur, l'air bruissait constamment de soupirs et de silences, les voix de tout ce qui change et périt, pour ainsi dire, comme le va-et-vient de la respiration humaine, alors que dans le miroir les choses avaient cessé de respirer et reposaient dans l'extase de l'immortalité.