« Il n'y a rien à pousser ni à remiser parce que la place il la prend toute, d'un coup. C'est comme une autre maison et une autre vie en fait, quand il est revenu. Et je ne sais pas comment m'y prendre. C'est singulier l'incursion du bonheur, j'ai si peu l'habitude. Il va falloir se dépouiller de ses vêtements d'absence, nombreux ils sont en couches successives, nombreux je m'en suis recouverte au fil du manque. Maintenant comment les ôter sans crainte, me dénuder de ma carapace, mon armure d'absence. »