Catherine, toute à la fougue de sa passion, ne supportait pas de rester éloignée de son amant. Leurs jeux amoureux -- souvent, elle posait nue pour lui dans des attitudes plus que lascives et il la croquait fiévreusement -- la rendaient plus ardente et plus affamée de sa présence. (Ces magnifiques dessins impériaux sont aussi conservés dans les archives russes.)