A mesure qu'il restreint le rôle de l'aura, le cinéma construit artificiellement, hors du studio, la “personnalité” de l'acteur. Le culte de la vedette, que favorise le capitalisme des producteurs de films, conserve cette magie de la personnalité qui, depuis longtemps déjà, se réduit au charme faisandé de son caractère mercantile.