Le mot doit communiquer quelque chose (en dehors de lui-même). Tel est réellement le péché originel de l’esprit linguistique. En tant qu’il communique extérieurement, le mot est en quelque façon la parodie par le verbe expressément médiat du verbe, expressément immédiat, du verbe créateur, du verbe divin, et c’est la déchéance du bienheureux esprit du langage, de l’esprit adamique, situé entre les deux.