Citations de Walter Farley (23)
la maman de Steve:
- aller, Steve si tu veux être un grand jockey un jour,
mange ton steak, et tu deviendra fort comme un
boeuf.
- ouais, ouais...tu m'as déjà
fait le coup du poisson et je ne sais toujours pas nager.
Ce livre est très bien et très intéressant a lire
Quelle splendeur ! Alec n'en croit pas ses yeux : il a devant lui un animal gigantesque, d'une puissance extraordinaire, noir comme l'ébène.
Il se tut, évoquant dans sa pensée une image qui ne cesserait plus jamais de le hanter désormais: l'image de ces matins merveilleux où, presque allongé sur l'encolure soyeuse de flamme, il galopait autour du cirque de falaise dans le silence et la paix de la vallée Bleue.
Les aventures de Black et Alec sont toujours aussi passionnantes et l'amitié d'Alec pour Black malgré les épreuves difficiles qu'il à affronté grandit.
Une superbe histoire d'amitié entre Alec et Black qui aider par le destin arrive à créé une véritable complicité avec beaucoup de mal au début !!!
Super livre si vous aimez le cheval ! Alec va apprendre à partager sa vie et son amour pour le cheval. afin de devenir les meilleurs amis et une vrai complicité.
Je ne me lace jamais de le lire!
(page 272) Tu as réussi,Satan...Merci...merci!
ce livre est bien il y a même un lexique pour les mots que l'on ne comprends pas alors aller l'acheter a votre que e bibliothèque
Chapitre 1:Intrusion nocturne.
La nuit s'étend sur l'enclos dans lequel se trouve la vieille grange. Le portail de fer qui donne sur la route fait entendre un grincement plaintif et,s'entrouvrant,laisse passer l'ombre d'un homme qui se dirige,presque à tâtons,vers le bâtiment. Quand sa main gantée rencontre le bois de la porte,il fouille dans la poche de son manteau. Mais ce qu'il cherche ne s'y trouve pas sans doute,car il ne peut s'empêcher de pousser une sorte de grognement. Ce doit être dans la poche gauche,dans laquelle est enfoncée l'extrémité de sa manche qui pend,vide. S'inclinant sur le côté,il parvient à y plonger sa main droite et en retire enfin une petite seringue hypodermique. Un sourire s'esquisse sur les plis adipeux de sa chair tannée.( première page à lire)
_ Il parle bien l'anglais,remarque M. Volence . Y a-t-il longtemps qu'il est chez vous,Bruce?
_ Oui,très longtemps. Peu après mon installation ici,un commerçant de mes amis,qui passait la plus grande partie de son temps dans le désert,est venu me demander si je voudrais m'occuper de Raja en son absence.(…) J'ai cru comprendre que,lors d'un de ses voyages dans le désert,mon ami avait trouvé le bébé abandonné dans une petite oasis.(…) Mon ami l'a alors ramené à Haribwan.
On dirait une sorte d'oiseau. Regarde donc,Alec.
Page 16
Les chevaux tiennent-ils une place dans votre légende ?
Une place très importante ! Mes ancêtres considéraient les chevaux comme des dieux revenus sur terre. Dès l'apparition des cavaliers espagnols, ils ont fui, terrifiés.
Grâce à la lune, qui venait de percer les nuages, Alec distingua la silhouette d'un cheval au galop. Pas de doute, il ne pouvait s'agir que de Ziyadah, car ce cheval évoluait avec une parfaite agilité prouvant une connaissance parfaite du terrain. Et derrière lui, s'allumait la traînée d'étincelles bleues, rouges, et orangées qu'Alec avait eu déjà deux fois l'occasion d'observer.
Le choc avec Henry Dailey ne tarderait pas à se produire. En effet, Alec était attendu le lendemain sur l'hippodrome d'Aqueduct, à New York, Black devait courir à la fin de la semaine. Alec décida de ne faire allusion à Pam qu'après la course. SI Black gagnait - comme on pouvait s'y attendre - Henry, de bonne humeur, accepterait peut-être qu'une fille fût employée comme lad au ranch de l'Espoir.
A la fin, ils passèrent du grand au petit galop, puis au trot. Ils s’arrêtèrent à l'extrémité de la seconde ligne droite. Ils respiraient comme des soufflets de forge, leurs flancs se gonflaient, tremblaient, leurs naseaux touchaient presque le sol. Ainsi qu'Alec l'avait prévu, ils étaient allés jusqu'à l'épuisement complet. La victoire échappait à l'un comme à l'autre. Ils étaient tous les deux vaincus.
Tandis que ce dernier lui passait un chiffon sur le dos, Alec remarqua qu'elle avait encore embelli. Les galopades sur la piste du ranch lui avaient fait un bien immense. Sa robe scintillait, ses muscles étaient souples, harmonieux, Certes, elle ressemblait à Black, et elle possédait sans doute toute sa vitesse. Alors, pourquoi s'obstinait-elle à refuser de donner toute sa mesure ? Combien de fois le jeune garçon avait admiré le courage et la volonté se gagner qui caractérisaient le grand étalon noir ! Ce courage et cette volonté, Black les avait transmis à Satan, son fils, mais non à Black Pearl, sa fille. Pour quelle mystérieuse raison ?
Il s'immobilisa soudain. Il venait de découvrir l'étalon sauvage à courte distance, dans l'ombre projeté par la muraille, à cent mètres de la harde.
Un animal superbe, noir comme la nuit, de taille gigantesque, au corps musclé, aux jambes longues et déliées. Sa crinière était abondante, sa queue traînait presque jusqu'au sol. Sa tête, petite, se tenait très droite, et ses prunelles étincelantes semblaient rivées sur le nouveau venu.
"Oh ! Regarde ces chevaux !"
Jamais encore le jeune garçon n'en avait vu d'aussi superbes. Noirs, bais, alezans galopaient la tête haute et leurs robes luisaient au soleil. Ils étaient maintenant tout près et le regard d'Alec se fixa particulièrement sur l'alezan de tête. C'était un étalon plus puissant que les autres, avec une crinière dorée qui flottait au vent, et trois balzanes blanches.