La trompe de la locomotive était devenue le fond sonore de mon voyage - le seul qui fût dénominateur, qui n'en supportât pas d'autre, en tout point comparable au carillon de nos églises. Mais il lui manquait la familiarité vespérale, dominicale des cloches. Il retentissait chaque fois comme la trompette d'un être d'un autre temps, l'âge de fer et ses projets héroïques.