Une année, Zigi arriva dès l'été, et pendant une bonne période Aja cessa de se jeter sur le pavé de la grande place et sur les marches devant la moustiquaire. Cet été-là, nous l'appelâmes "l'été de Zigi", même des années plus tard, lorsque nous nous en souvenions, nous l'appelions ainsi, cet unique été qui n'avait été fait que de jours clairs.