Les éleveurs, je les emmerde. Je sais de quoi je parle. Je suis fils d’éleveurs. Quand on voit comment certains s’occupent de leurs bêtes. Avec un malheureux berger pour cinq mille têtes de bétail, on comprend pourquoi ils ne veulent pas de l’ours. Tous les soirs, les bergers espagnols rentrent leurs bêtes au corral, mais ici …