Aneta Djanali rentra chez elle en voiture par un temps magnifique. Au-dessus des toits, tout était bleu et le soleil dardait véritablement ses rayons, projetant des ombres très accentuées sur tout Sveagatan. L'air embaumait.
Elle traversa rapidement l'entrée, après avoir vérifié la nouvelle serrure, pénétra dans sa chambre, ôta son corsage et sa mince chemise. C'est au moment où elle desserrait sa ceinture que sa main se figea.