Dès que la saison devient clémente, en route pour les champs. Quel bonheur de se retrouver, le pinceau à la main, dans cette chère campagne de Rouen, où a erré son enfance. Au mois d'août 1822, il est à Bois-Guillaume, chez son vieil ami, son ancien correspondant, le père Sennegon, et il plante son chevalet n'importe où, devant un bout de prairie, avec quelques méchants pommiers à l'horizon, pour le plaisir de mêler des couleurs et d'apprendre à peindre.