Malgré mon manque d'appétence pour la dark romance, j'ai testé ce roman aux avis enthousiastes et, surtout signé L.J.Shen. C'est toujours fluide, bien écrit et ça se lit vite. Les caractères extrêmes et un peu trop prononcés des personnages ne m'a pas déplu.
En revanche, j'ai eu vraiment du mal à concevoir que Francesca puisse passer outre son viol et tombe amoureuse de son mari imposé... Même si les circonstances sont expliquées, on frôle la banalisation de l'abus sexuel. Dérangeant. Idem pour la "réconciliation" du lendemain où, pour apaiser le fait de l'avoir abusée, Wolfe masse l'entre-jambe et l'intimité de sa belle, avant de se faire pardonner en lui offrant un cunnilingus chaque soir durant. Révoltant.
La fin est également trop facile et idyllique. Cela m'a fait lever les yeux au ciel. Un peu de réalisme du côté du géniteur "salop jusqu'au bout" n'aurait pas fait de mal...
Bref, lecture en demi-teinte. Tout de même curieuse de lire un autre titre de l'autrice qui, hormis ce titre, m'a rarement déçue.
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Je trouve cela amusant.
Le premier tome d'une série désormais cultieuse, qui compte sept (série achevée, malgré les rumeurs, un nouveau tome en préparation)
Harry Potter, le bébé survivant, a remporté Voldemort, le sorcier noir. Élevé chez son oncle qui le martyrise, sans connaître ses origines, il se retrouve propulsé à 11 ans dans un monde magique, celui des sorciers dont il fait partie. Lors de son apprentissage à l'école de Poudlard, il devra traverser de nombreuses épreuves, de jalousies et survivre de nouveau à la plus grande menace du monde des sorciers.
Il est important de revenir aux fondamentaux de la littérature jeunesse «moderne ». Le livre qui, pour certains, a réconcilié nos chères têtes blondes avec ce loisir archaïque qu'est la lecture...
C'est avec nostalgie (quoique lors de ma première lecture, j'étais déjà largement adulte, le tome 4 n'était pas encore sorti) et la tête pleine d'images de l'excellent film éponyme que j'attaque à nouveau ma lecture.
L'école des sorciers est un livre qui est plein d'idées. Chaque page est un trésor d'imagination riche en fraîcheur. En ayant un style simple et linéaire, qui est parfaitement adapté au public cible, il peut être lu par un public adulte et adepte.
La proximité entre le monde moderne et le monde moyenâgeux « confortable » des sorciers est excellente. La lecture est possible à différents niveaux : maltraitance infantile, discrimination voire eugénisme, racisme ect...
En tout cas, un moment merveilleux et absolument merveilleux.
Vous aurez pris conscience de la quantité de superlatifs utilisés dans cette critique... Quelle est votre envie. Un livre que j'adore (et je ne suis pas le seul) et une série vendue à plus de 450 millions d'exemplaires est une source de respect, n'est-ce pas ?
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