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Cyrano de Bergerac

Cyrano nous appris la valeur des mots et nous ne le remercierons jamais assez pour cela. Il nous aussi appris la beauté d'un geste et l'importance d'écrire des lettres d'amour (encore plus aujourd'hui !). Pour finir, n'oublions pas qu' "on ne bat pas dans l'espoir du succès. Non ! C'est bien plus beau lorsque c'est inutile ! "
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Moll Flanders

Lire 400 pages et + en anglais du 19e siècle pour une histoire NULLE sur une gow qui doit se prostituer, voler, se chope une demi-dizaine d'amants et mari pour presque autant de gosses... J'aimerais dire girlboss mais tu vois que c'est un homme qui a pondu cette horreur parce que le personnage féminin ne fait que s'incriminer et dénoncer ses "actes déviants" tout en excusant absolument tous les hommes qui abusent d'elle ? Soit disant c'est elle qui les manipule ? Nul nul nul.

Je sais qu'à époque différente, mœurs différents mais là en plus l'histoire est nulle, juste une succession de "je vais ici, j'ai volé pour tant, je suis parti là-bas pour voler tant etc". Je veux bien sur 100 pages mais si c'est pour lire un livre de comptes et déprimer j'ai juste à ouvrir mon appli bancaire.
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Avec vue sur l'Arno

Lucy Honeychurch, une jeune femme de la classe moyenne supérieure, visite l’Italie sous la responsabilité de sa cousine plus âgée Charlotte. Dans leur pension à Florence, on leur donne des chambres qui donnent sur la cour plutôt que sur le fleuve Arno. C’est le point de départ du roman et cette anecdote marque la rencontre avec M. Emerson, un autre invité, qui leur offre généreusement les chambres qui lui appartiennent, à lui et à son fils George. Bien que Charlotte soit offensée par le manque de tact et de bienséance de M. Emerson, elle finit par accepter le changement.

La visite de Lucy en Italie est marquée par plusieurs rencontres importantes avec les Emerson, d’une classe sociale inférieure et dont la manière de penser et d’agir choquent grandement la jeune femme. Elle est pourtant une jeune pianiste passionnée et lorsque M. Beebe observe son jeu, il prédit qu’un jour elle vivra sa vie avec autant d’enthousiasme qu’elle joue du piano.

A son retour dans le Surrey, où elle vit avec sa mère, Mme Honeychurch, et son frère, Freddy, elle est demandée en mariage, pour la troisième fois, par le snob Cecil Vyse, et elle l’accepte. Il désapprouve sa famille et les gens de la campagne qu’elle connaît, les trouvant grossiers et peu sophistiqués.

Lucy est donc maintenant confrontée à un dilemme, et doit faire face à un réel tournant dans sa vie : le choc des cultures qu’elle a vécu lors de son séjour en Italie, la découverte d’un pays étranger et la rencontre avec les Emerson, ne l’a pas laissé indemne. Cela lui a ouvert les yeux sur des idées et des gens différents de ceux qu’elle a connus en grandissant dans la campagne anglaise. Elle se rend compte maintenant que les frontières sociales qu’elle a toujours considérées comme fixes sont en fait arbitraires. Elle se débat donc entre des valeurs victoriennes strictes et démodées et des mœurs plus récentes et plus libérales.

Une lecture passionnante, un classique certes mais un très bon roman d’apprentissage.

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