Michel Leboeuf entend de moins en moins bien, lui qui a passé sa vie à distinguer les chants des oiseaux dans les bois. Pour ne rien oublier de ce concert aérien, il a noté le « honk-a-honk » des bernaches, le « houî-îîîîîî », de la buse, et même le vrombissement des ailes des moustiques femelles, qui attirent les mâles. Cela donne Les chants perdus de la nature. Bienvenue en Anthropophonie, son dernier essai qui paraît chez MultiMondes.
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