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Tina Modotti
Liste créée par Pecosa le 01/12/2016
20 livres. Thèmes et genres : photographie , femmes , italie , mexique , cinema

Assunta Adelaide Luigia Modotti Mondini dite Tina Modotti, (1896- 1942), photographe, actrice et militante révolutionnaire.



1. Tinisima
Elena Poniatowska
4.40★ (17)

Une biographie monumentale.
2. Tina Modotti
Bernadette Costa-Prades
3.80★ (15)

La jeune Tina nait en 1896 près de Venise, dans une famille très pauvre, qui se trouve contrainte d'émigrer aux États-Unis pour survivre. Tina fascine tôt par sa beauté et sa forte personnalité : engagée à son arrivée comme ouvrière dans le textile, elle devient mannequin puis actrice, mais préfère la vie de bohème de San Francisco où elle rencontre le célèbre photographe Edward Weston. Le couple part s'installer au Mexique : ils parcourent le pays, photographiant les paysans et la vie quotidienne, fréquentent le milieu artistique de Mexico - Diego Rivera, Frida Kahlo. Profondément touchée par la misère du peuple mexicain, Tina s'engage auprès des communistes et fait ainsi la connaissance de Julio Antonio Mella, le fondateur du parti communiste cubain, dont elle tombe follement amoureuse. Mais, seulement quelques mois après, il est assassiné en pleine rue. Trainée dans la boue pour sa vie " dissolue ", Tina est bientôt emprisonnée, puis expulsée du pays.
3. Tina ou La beauté incendiée
Pino Cacucci
2.75★ (6)

Emigrée à San Francisco à l'âge de dix-sept ans, Tina Modotti appartient à cette lignée d'artistes - elle reste l'une des photographes majeures de ce siècle - et d'aventurières qui épousèrent leur temps. Née à Udine en 1896, elle est la première de sa famille à quitter son pays en compagnie de son père, ouvrier socialiste. A San Francisco, elle fréquente très tôt les différentes avant-garde. A Hollywood, son charme fait des ravages. Elle tourne même dans quelques films, mais ces expériences resteront sans lendemain. La rencontre décisive est celle d'Edward Weston, le célèbre photographe. Elle devient très vite son assistante, bientôt sa maîtresse. Lui quitte femme et enfants, et le couple s'installe à Mexico. A son tour, Tina devient une photographe recherchée. Elle rencontre, de Diego Rivera à Pablo Neruda, tout ce que la capitale compte d'intellectuels, de peintres, d'écrivains, de poètes, d'artistes. Dans les années vingt, Mexico est en effet un centre où vivent et se croisent nombre de créateurs dont beaucoup sont alors militants communistes. Par exigence de justice sociale, Tina va, elle aussi, s'engager. Expulsée en 1930 vers l'Europe, Tina lie son destin à un certain Vittorio Vidali, en réalité commissaire politique du Komintern aux multiples identités... Paris, Moscou, la guerre d'Espagne. Les désaccords entre Tina et la ligne officielle, et donc avec Vittorio, seront de plus en plus larges. Le déchirement est d'autant plus dur qu'elle n'en fera jamais état publiquement, même après son retour au Mexique où elle assiste, révoltée, à l'assassinat de Trotski. Elle-même meurt dans d'étranges circonstances en 1942, et nul ne saura jamais si elle a succombé à une crise cardiaque ou à un empoisonnement.
4. Tina Modotti, Amour, Art et Révolution
Margaret Hooks
3.30★ (12)

Photographe de talent, égérie et compagne du photographe, Edward Weston... "Femme fatale, photographe et espionne, Tina Modotti est un personnage hors du commun. En 1913, elle quitte l'Italie pour les Etats-Unis. Après avoir été comédienne, elle devient photographe. Sa vie est marquée par des amours passionnées et des exils permanents." L'Express
6. Tina Modotti
Isabel Tejeda Martin
Façonné par son activisme militant et son mode de vie nomade qui la mène de son Italie natale à la Russie, le parcours incandescent de Tina Modotti (1896-1942) suscite la fascination. Essentiellement produite entre 1923 et 1930, son oeuvre frappe par son caractère fulgurant, de la photographie d'art de ses débuts à une approche plus personnelle tournée vers la dénonciation des conditions de vie des défavorisés. C'est au sein du Mexique postrévolutionnaire que se forgent tant sa conscience politique que le style particulier, à la fois sensible et critique, avec lequel elle saisit sur le vif les mouvements sociaux et les inégalités sans jamais négliger la qualité de la photographie. Ses images fortes, parfois teintées de propagande, de la précarité des travailleurs, des symboles de l'émancipation de la classe ouvrière, de la misère des zones urbaines, ainsi que des femmes et de leur rôle au sein de la communauté, en font l'instigatrice du photojournalisme dans le pays. Croisant l'analyse du travail de Tina Modotti avec les mouvements historiques qu'elle a traversés et l'étude de la diffusion de ses tirages dans les revues illustrées de l'époque, cet ouvrage entend rompre avec le récit romancé que certaines biographies ont véhiculé à son sujet pour révéler le regard précurseur dont est dotée cette citoyenne du monde engagée dans les luttes de son temps.
7. Moi, Tina Modotti, heureuse parce que libre
Gérard de Cortanze
3.40★ (66)

Emigrée à San Francisco à l?âge de 17 ans, Tina Modotti devient trés vite une actrice de théâtre et une vedette du cinéma muet. Éprise d?Edward Weston, le célèbre photographe américain, elle part vivre à Mexico où elle intègre les milieux intellectuels d?avant-garde. Devenue à son tour photographe, elle voit son nouvel amant, le révolutionnaire cubain Julio Antonio Mella, assassiné sous ses yeux, ce qui décide de son engagement dans la lutte politique. Commence alors pour elle une vie d?errance : Berlin, Moscou, Paris, l?Espagne en guerre... Photographe de génie, femme à la beauté ravageuse, celle que d?aucuns surnommèrent la « Mata Hari du Komintern » construit un des destins les plus exceptionnels de son siècle. Mais qui était-elle vraiment ? Gérard de Cortanze se penche, dans ce livre plein de bruit et de fureur, sur le parcours libre et intense d?une femme perpétuellement partagée entre l?art et la vie.
8. Tina Modotti, photographe et révolutionnaire
Maria Caronia
La photo a été pour Tina Modotti sa véritable pratique politique et sa seule parole subjective, sa parole écrite. De photographiée — aux USA par Weston, et amoureusement —, elle est devenue photographiante — au Mexique, de la révolution en marche. D’actrice — à Hollywood, dans d’absurdes films de l’époque —, elle est devenue actante — de la lumière mexicaine à la chambre noire de son appartement. Avec son lourd appareil à photos, véritable machine de guerre où se transformait son discours silencieux, elle a fixé son amour et sa conscience des autres, hommes et femmes du peuple mexicain dont elle a appris et reconnu la lutte et la dignité prolétaires. Ouvriers, campesinos, femmes, enfants, végétal, minéral… Le vivant et ce qui dure… L’espace du travail et ses signes inscrits et captés dans ces corps : mains d’ouvriers et de paysans, mains de la blanchisseuse, densité du regard des enfants, sourires des femmes, et dignité de leur port de tête, comme dans l’éclatante « femme au drapeau »…
11. Edward Weston
Edward Weston
4.33★ (10)

In 1902, the year Edward Weston was given his first camera, few people regarded photography as more than a craft. But along with innovators like Alfred Stieglitz and Edward Steichen, Weston revolutionized the ways photographers chose subject material and used photographic techniques to create what gradually came to be accepted as fine art. This is an elegant book, designed and printed in Germany, with an essay by Terence Pitts, of the Center for Creative Photography in Tucson, Arizona. It presents 180 of Weston's finest images, including many--such as the pines of Point Lobos, the sand dunes of Oceano, and his stark, unadorned nudes--that have become icons. Whereas the photographs of Man Ray and Moholy-Nagy were, to Weston's eyes, hopelessly mannered, his images are elemental, organic, and in harmony with nature's rhythms. Weston spent most of his working life in Mexico and California, and much of his work, replete with shadows, is illuminated with the harsh light of those places. In 1932, he and Ansel Adams founded the influential photographic collective Group f/64, named after the lens-aperture size that exposed an image at its most detailed and clear. This was Weston's aesthetic: to show the real world in its unrelieved integrity rather than create an imaginary construct. He was concerned with visual truth, not with character or storytelling. Weston was a true pioneer whose rigorous vision permanently changed the ways we see the world around us. --John Stevenson
13. La soif jamais ne s'étanche
Suzanne Forisceti
Louise Michel, Rosa Luxembourg, Tina Modotti, Frida Kahlo Louise, Rosa, Tina, Frida, quatre femmes passionnées, quatre grandes amoureuses prises dans la tourmente des idées révolutionnaires. Louise, Rosa, Tina, Frida, quatre grandes figures qui approchèrent les femmes et les hommes qui marquèrent leur époque. Quatre femmes qui ne connurent ni les affres, ni les joies de la maternité. Il y avait les idées. Il y avait les hommes. Louise, Rosa, Tina, Frida, se coulèrent avec ferveur dans les idées qui pour beaucoup, à cette époque, étaient synonymes de progrès social, prémisses de liberté et de « lendemains qui chantent ». Louise, Rosa, Tina, Frida, quatre femmes d’amour de la vie et de la révolution sociale. Louise, Rosa, Tina, Frida, l’honneur d’une certaine idée, humaine, de la révolte contre l’intolérable et de l’espérance en un autre futur de liberté, d’égalité, d’autogestion et d’entraide.
15. Tina Modotti
Ángel de la Calle
4.04★ (33)

Assunta Adelaide Luigia Modotti Mondini, mieux connue sous le nom de Tina Modotti (1896 - 1942) fut une photographe et une actrice italienne. Elle consacra sa vie à l?art et à la révolution. Aujourd?hui encore, la vie et l??uvre de Tina Modotti gardent un pouvoir fascinant. La brièveté même de sa carrière est le symbole des drames d?une époque qui l?a finalement broyée, et sur laquelle elle a laissé les témoignages touchants d?une sensibilité qui ne pouvait qu?être malheureuse. Mais Tina Modotti reste aussi l?incar- nation d?une indomptable vitalité latine qui s?affirme à travers l?épreuve de l?exil : chassée d?Italie par la pauvreté, elle s?ouvre à la vocation artistique au contact des communautés italiennes de la diaspora de Californie, trouve un accomplissement éphémère en s?intégrant à la culture foisonnante du Mexique post-révolution- naire, et finit par se dépasser au service d?une Espagne républicaine vouée à la défaite.
16. L'impertinence d'un été, tome 1
Denis Lapière
3.33★ (35)

Mexico, août 1923. Le photographe américain Edward Weston vient d?abandonner femme et enfants pour rejoindre sa maîtresse Tina Modotti. Fille d?émigrés italiens, Tina a démarré une carrière d?actrice à Hollywood avant de se révéler photographe, dans le sillage d?Edward. Au Mexique, les deux amants découvrent que révolution rime avec expression. Sur les murs des bâtiments publics explosent les peintures de Diego Rivera, de Xavier Guerrero et de tous ceux qui resteront dans l?histoire de l?art sous le nom de "muralistes". En ces années 1920, charnières entre l?ancien monde, balayé par la première guerre mondiale, et le nouveau monde qu?il reste à construire, Tina et Edward s?engagent aux côtés des guérilleros de l?art. Dès lors, pour Tina, le sexe, la liberté, l?art et la politique s?avèrent indissociables de son mode de vie ; une quadrature du cercle difficile à résoudre pour Edward. Mais si la passion brûle les sens, la souffrance attise les feux de la création...
17. L'impertinence d'un été, tome 2
Denis Lapière
3.38★ (19)

Tina se languit d'Ed qui est parti rejoindre sa famille aux Etats Unis. Restée seule au Mexique, elle va alors essayer de se retrouver dans la photo, de laisser s'exprimer sa sensibilité. Même si beaucoup reconnaissent son talent, elle ne réussit néanmoins pas à vraiment vivre de son art, d'autant qu'elle commence à vouloir s'engager dans la révolution communiste qui gronde de plus en plus. Ed finit par revenir, avec son fils Brett. Alors qu'ils semblent retrouver cet équilibre d'antan, le couple se rend bien compte des différences qui les séparent...
18. L'Ombre rouge
Jean-Pierre Pécau
2.75★ (23)

Le récit d’une vie, d’un sacrifice pour la cause.Londres, 1982. Jorge Semprun, ancien militant communiste, romancier et scénariste à succès reçoit une énigmatique invitation à la Tate Gallery. Un musée, lieu de rendez-vous idéal pour les espions et les agents clandestins. Ici, un homme mystérieux lui remet une enveloppe contenant une douzaine de clichés. Des clichés que Jorge connait bien... Ou plutôt, leur auteur : Tina Modotti. Photographe et artiste italienne immigrée aux États-Unis dans les années 1920 puis militante révolutionnaire et agent du Komintern au Mexique, elle est probablement liée à l’assassinat de Trotsky et à la guerre civile espagnole de 1936. Le 6 janvier 1942, revenue en Amérique, elle décède d’une crise cardiaque. Mais qui était-elle vraiment et quelles sont les véritables raisons de sa mort ? C’est pour élucider ces mystères que, 40 ans plus tard, Jorge va mener l’enquête...Dans ce passionnant roman graphique au souffle historique mais surtout romanesque, Jean-Pierre Pécau nous raconte l’incroyable destin d’une artiste qui a tout sacrifié pour la Révolution et tente, derrière le fantasme de sa disparition, de livrer sa version des faits. Une histoire de femme et d’espionnage, dessinée par un jeune talent issu de l’école espagnole : Alejandro Gonzalez
19. Tina Modotti : Les années mexicaines
Marie-claude Ciosi
4.00★ (1)

Le premier roman graphique sur Tina Modotti, la grande photographe du siècle dernier, artiste, révolutionnaire, figure emblématique de la femme libre, amante et modèle d'Edward Weston. Ce bel ouvrage est une nouvelle proposition artistique basée sur « Les années mexicaines » : le récit des circonstances et événements de cette période (1923-1930) où se sont forgés les axes forts de sa vie.
20. Femmes photographes: Emancipation et performance (1850-1940)
Federica Muzzarelli
- La photographie, images d?expression et d?émancipation des femmes à travers la prise de possession de leur corps par l?image. Les femmes et la photographie : deux univers contrariés et maintenus en marge de l?empirée artistique du XIXe siècle ! Cet ouvrage raconte comment ces deux univers ont fait alliance, dans une symbiose incroyablement fertile. Les femmes ont alors fait preuve d?une capacité à affronter instinctivement, dans des conditions historiques données, certains refoulements culturels et sociaux caractéristiques du monde occidentalisé. A commencer par ceux du corps et du geste. Ainsi, à la même période où débutait le lent processus d?acceptation du corporel dans la sphère culturelle occidentale, de façon curieusement analogue, les femmes artistes s?en faisaient courageusement les interprètes ? bien qu?au prix de nombreuses difficultés ? car elles-mêmes avaient subi depuis des siècles le même phénomène de « relégation » des activités intellectuelles et artistiques. Cette poétique commune de récupération de la corporéité et de l?action, que certaines artistes parvinrent à interpréter de façon originale, anticipait le climat de recherche de la performance et de l?identité des années 1970, Douze artistes différentes, étudiées dans cet ouvrage, témoignent de cet engagement et de cette réalisation par la photographie : Alice Austen, Gertrude Arndt, Virginia Oldoini (Comtesse de Castiglione), Hannah Cullwick, Anne Brigman, Claude Cahun, Julia Margaret Cameron, Clementina Hawarden, Hannah Höch, Tina Modotti, Leni Riefenstahl et Madame Yevonde. Certaines ont été des artistes d?une façon assez ab-norme, et l?étiquette leur est appliquée de façon très élastique. D?autres, en revanche, ont pratiqué simultanément d?autres moyens d?expression. Mais, pour toutes, la photographie a été une occasion d?exhibitionnisme narcissique, de voyeurisme fétichiste, de travestissement identitaire, de recherche et de témoignage de leur propre identité sexuelle, de fragmentation et de reconstruction imaginaire du réel, de praxis et d?exaltation de la politique et de l?idéologie. En d?autres termes, la photographie a été vécue par elles comme possibilité de récits du corps et de l?action. Les raisons de cette relation dangereuse (femmes-photographie-corps-action) sont celles d?une véritable affinité élective, au point que la photographie, pour de nombreuses femmes, en Amérique singulièrement, a représenté dès la fin du XIXe siècle le territoire de leur émancipation sociale et économique.
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