Le silence construit l’être dans l’essence même du mystère qui le porte sur les routes de la vie. Il est le prolongement de la méditation, invite à la contemplation, à l’exploration de la profondeur de l’âme de l’homme assujetti au vide et à l béance dont il ne comprend pas la raison. Le silence, c’est la palabre avec Dieu sur une possible reconstruction des choses et le refus de l’accusation de l’autre dont on ne constate que la petitesse.