« J'aurais voulu être plutôt le fils de la femelle du requin »
Lautréamont
Parfois, je l'avoue, en parcourant les allées d'une librairie, le classement enfermant et clivant des rayonnages :
Littérature française – Littérature étrangère—philosophie—développement personnel –BD—romans du terroir --- policiers--romans graphiques—romance--etc.
Je suis pris d'un …. comme écoeurement face à cette logorrhée de livres.
Et je retourne alors vers, ce que je crois être le hasard d'internet.
« La Femelle du Requin : vertiges de la lenteur » : qu'est-ce que c'est « ça ».
ATTENTION DANGER !
Pour ceux qui auraient envie de s'en aller vers leur bois ou l'océan,
Il ne faut pas ouvrir ce livre .Il risque de vous faire retourner vers la livralgie.
Précédé du portrait photographique dédits écrivains.
Il s'agit d'un recueil d'entretiens avec vingt écrivains par la revue : « La Femelle du requin » à l'occasion de leurs 20 ans.
On a toujours plaisir à « entendre » certains, parler d'autres auteurs, comme dans l'intimité d'un bistrot et non comme à la TV où ils sont en représentation.
Certains qui avouent avoir dit des conneries.
D'autres que l'on croyait connaître mais dont on ignorait la profondeur : tel
Antoine Volodine.
Ou
François Maspero plus connu pour son activité d'éditeur mais dont il semble que la vie fut fort agitée.
D'autres, que je ne connaissais pas comme
Richard Morgieve que l'on n'est pas certain d'apprécier mais qu'après la lecture de son entretien, on lira certainement.
Ou
Gabriela Adamesteanu
Bon !! Je suis repris par la maladie
J'essayerai une autre fois