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Critique de helenemartinihl


page 340 : elle intériorise cette mort et ne comprend pas, c'est elle qui est en vie
elle a perdu à tout jamais l'insouciance et un voile noir vient obscurcir son rapport au monde. La vie est la plus forte. La douleur qui demeure devient comme une bête apprivoisée aux griffes rongées mais aujourd'hui encore, j'ai encore du mal à dire "mon fils" sans que la gorge se noue
page 457 : sur l'âge : implacable, elle observe les dérives de l'âge et note la distance qui sépare ce qu'elle veut faire de ce que maintenant lui est possible
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