Milena Agus a quelque chose de
Lydie Salvayre dans cette prose parfois acerbe, transformant des physiques ingrats en beauté. Saga d'une famille de Sardaigne où la mer frôle toujours le récit par sa présence, son absence où le refus de la rencontrer alors qu'elle n'est pas loin. Une écriture enchanteresse.
Commenter  J’apprécie         70