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Critique de palamede


« Nous venons au monde comme si c'était une terre promise, et puis... » et puis chacun selon son caractère trouve une forme de félicité, ou pas. Ainsi Felicita, en dépit de sa rondeur, d'un fiancé fuyant ou de la maladie, aime la vie. Elle ne tient pas de sa mère, une éternelle insatisfaite que Raffaele, son mari, tente en vain d'ouvrir au monde et à des joies simples mais vraies. de cette mère triste et de sa grand-mère sévère Felicita ne s'en préoccupe pas. Comme son fils Gregorio, dont la terre promise est la musique à l'exclusion de l'argent, la réussite, la reconnaissance, elle est persuadée que la bienveillance (pas la providence) est la clé de tout. Alors en Sardaigne, à Milan ou New York son amour et respect de la nature des autres et de soi, qu'on imagine être ceux de Milena Argus, sont une magnifique leçon de vie.
« J'aime Montale à cause de la divine indifférence. S'il y en a un que je ne supporte pas, c'est Manzoni, lui et sa divine providence... »

Challenge MULTI-DÉFIS 2020
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