Prendre le bon chemin, c’est vouloir unir, rassembler, retrouver l’Un primordial.
Que sont nos soucis, sinon des pierres sur le chemin pour nous polir, user nos rugosités, rendre notre peau plus sensible aux autres ?
On ne peut pas en finir avec la nostalgie, cette grande douceur au fond de notre âme – elle et infiniment liée à la vie sur Terre, et donc par la même inépuisable.
Ne gaspillez pas votre mépris, le nombre de nécessiteux est grand. Chateaubriand
Pour qu’une valeur devienne vertu, il faut la vivre. L’incarner.
Le drame de l’avidité et de l’envie, c’est qu’elles révèlent une insatisfaction liée à un vide intérieur sévère et mènent à oublier l’être, la vie, l’âme et plus encore : l’espace spirituel qui devrait guider toute décision importante.
La profondeur demande d’accéder souverainement à nos vies.
Quelle joyeuse perspective dans mon affirmation : la gratitude a des rapports étroits avec le bonheur, la sérénité, l’altruisme. C’est le contraire de l’égoïsme.