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Critique de bdelhausse
Lucie arrive chez son oncle Edgar, au Domaine de la Crapaudière, un magnifique manoir dans le countryside anglais de la fin du XIXè siècle. Elle n'est pas spécialement la bienvenue. Et très vite elle va se rendre compte que quelque chose cloche dans ce manoir. Lucie voit des choses que les habitants du manoir ne voient pas. Ils se comportent bizarrement, surtout son oncle, revêche, brutal et acariâtre.
Lucie va croiser Marigold, une fée un peu rebelle, qui cherche un nouveau jardin. La ruche des fées est sur le déclin. Les fées meurent. Les Bestilences qui viennent les harceler chaque nuit épuisent leur résistance, quand elles ne font pas des morts parmi les fées. Lucie retrouve le journal d'Angus, le père de sa tante Rose. Il apparaît comme un Berger pour les fées. Lucie va alors commencer à enquêter, mais elle n'est pas non plus la bienvenue chez les fées, lesquelles sont sur le point de prendre une décision cruciale pour leur avenir.
Une BD fort classique, avec tous les ressorts usuels de récits gothiques victoriens. Ajoutons-y un graphisme inspiré des mangas (une certaine esthétique moderne et de grands yeux). Et on a un produit assez conforme aux attentes, qui se lit avec plaisir, mais avec des longueurs et des baisses de régime. Mentionnons aussi le journal d'Angus qui sonne parfois un peu "faux", pas vraiment crédible en tant que journal intime d'un homme entre 30 et 40 (ou plus).
Lucie va croiser Marigold, une fée un peu rebelle, qui cherche un nouveau jardin. La ruche des fées est sur le déclin. Les fées meurent. Les Bestilences qui viennent les harceler chaque nuit épuisent leur résistance, quand elles ne font pas des morts parmi les fées. Lucie retrouve le journal d'Angus, le père de sa tante Rose. Il apparaît comme un Berger pour les fées. Lucie va alors commencer à enquêter, mais elle n'est pas non plus la bienvenue chez les fées, lesquelles sont sur le point de prendre une décision cruciale pour leur avenir.
Une BD fort classique, avec tous les ressorts usuels de récits gothiques victoriens. Ajoutons-y un graphisme inspiré des mangas (une certaine esthétique moderne et de grands yeux). Et on a un produit assez conforme aux attentes, qui se lit avec plaisir, mais avec des longueurs et des baisses de régime. Mentionnons aussi le journal d'Angus qui sonne parfois un peu "faux", pas vraiment crédible en tant que journal intime d'un homme entre 30 et 40 (ou plus).
