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Critique de Jelussa
Bienvenue dans le monde des magiciers… pourquoi pas magiciens ? Pourquoi inventer un nouveau mot pour décrire une même chose ? A moins que je ne découvre un secret au fil de ma lecture… mais fini le premier tome je me pose encore la question qui m'a perturbée chaque fois que mes yeux croisaient ce mot.
Pourquoi l'univers de la magie doit-il la plupart du temps être un peu poussiéreux et dans des maisons qui craquent de vieillesse, avec des costumes singuliers et d'improbables chapeaux ? C'est ce qui m'a déplu dans le premier tome de Harry Potter (je n'ai pas encore lu la suite du coup). Je préfère de loin lorsque le lieu est totalement inventé et la magie renouvelée comme par exemple dans « la ville sans vent ».
Ici nous sommes censés être à Aix-en-Provence et cependant j'avais l'impression d'être en Angleterre : salon de thé avec les vieilles dames, collège aux règles particulières, pas mal d'intempéries. de même pour les personnages si peu décrits au départ que je m'en suis fait une image puis j'ai eu des difficultés ensuite à « visionner » Charly avec une peau noire et Sapotille en blondinette… Cela a quelque peu contrarié mon plaisir de lecture.
Sans vouloir spoiler, j'aime beaucoup le rôle du chat Mandrin, sa présence presque insignifiante au début qui se développe peu à peu. Maître Lin m'a autant agacée que fascinée, mon avis reste mitigé à son propos mais je crois que j'aimerais qu'il soit sauvé. Et j'ai adoré Pépouze, utile, extrêmement fidèle et téméraire !
L'histoire, quand on y pense, est dramatique en elle-même. Elle est d'ailleurs composée d'une succession de drames. Fort heureusement l'auteure instille régulièrement des doses d'humour soit dans le verbe soit dans les actions mais également dans le choix de certains personnages. Cette légèreté apporte un réel réconfort au lecteur qui peut poursuivre sa lecture jusqu'au prochain drame.
En conclusion une lecture contrariée par plusieurs éléments mais rendue agréable par d'autres… il est rare qu'un roman me laisse aussi perplexe. le tome 2 me permettra peut-être de « trancher » mon avis ?
Pourquoi l'univers de la magie doit-il la plupart du temps être un peu poussiéreux et dans des maisons qui craquent de vieillesse, avec des costumes singuliers et d'improbables chapeaux ? C'est ce qui m'a déplu dans le premier tome de Harry Potter (je n'ai pas encore lu la suite du coup). Je préfère de loin lorsque le lieu est totalement inventé et la magie renouvelée comme par exemple dans « la ville sans vent ».
Ici nous sommes censés être à Aix-en-Provence et cependant j'avais l'impression d'être en Angleterre : salon de thé avec les vieilles dames, collège aux règles particulières, pas mal d'intempéries. de même pour les personnages si peu décrits au départ que je m'en suis fait une image puis j'ai eu des difficultés ensuite à « visionner » Charly avec une peau noire et Sapotille en blondinette… Cela a quelque peu contrarié mon plaisir de lecture.
Sans vouloir spoiler, j'aime beaucoup le rôle du chat Mandrin, sa présence presque insignifiante au début qui se développe peu à peu. Maître Lin m'a autant agacée que fascinée, mon avis reste mitigé à son propos mais je crois que j'aimerais qu'il soit sauvé. Et j'ai adoré Pépouze, utile, extrêmement fidèle et téméraire !
L'histoire, quand on y pense, est dramatique en elle-même. Elle est d'ailleurs composée d'une succession de drames. Fort heureusement l'auteure instille régulièrement des doses d'humour soit dans le verbe soit dans les actions mais également dans le choix de certains personnages. Cette légèreté apporte un réel réconfort au lecteur qui peut poursuivre sa lecture jusqu'au prochain drame.
En conclusion une lecture contrariée par plusieurs éléments mais rendue agréable par d'autres… il est rare qu'un roman me laisse aussi perplexe. le tome 2 me permettra peut-être de « trancher » mon avis ?
