Une tour - comme on nomme ces massives barres d'immeubles - s'enfonce lentement dans les ténèbres, ainsi que tous ses habitants, les uns après les autres.
On les suit dans leurs dérives, leurs morts atroces (ce roman est un tantinet trop gore pour moi), "punis par où ils ont péché", jusqu'au dernier l'anti-héros du livre.
Ce roman lui-même est plein de clichés sur les banlieusards, cependant j'ai trouvé la fin assez surprenante.
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